Dans les Lycées modernes 1 et 2 et au Collège moderne, les élèves se sont retrouvés dans la cour, attendant en vain le début des cours. La situation était pareille pour les enseignants qui devisaient par groupe, sans toutefois regagner les salles de classes restées vides.
Au groupe scolaire primaire Biaka, l’on a remarqué des parents venus chercher leurs enfants qui gambadaient dans la cour, sous les regards des enseignants en train de discuter.
Selon des indiscrétions, cette situation est le résultat de la ponction faite sur les salaires des enseignants pour le mois de mars.
L’on attend toutefois la conduite que va tenir la direction régionale de l’Education nationale et de l’Enseignement technique, face à cet arrêt de travail des enseignants du public.
AIP
Tue, 09 Apr 2013 00:43:00 +0200
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