Près de quatre ans après les massacres de dizaines de civils autochtones godié accusés d’être des partisans de Laurent Gbagbo et de son parti, le Front populaire ivoirien (Fpi),par des soldats des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (Frci) et leurs supplétifs officiels dozo et consorts, Adébem, Godjiboué, Trikpoko, Niégrouboué et Gobroko portent encore les marques indélébiles de la terreur sanglante qui s’est abattue sur ces villages de la Sous-préfecture de Sago, dans le département de Sassandra, principalement les 6, 7, 8, 9, 10 mai 2011.Sat, 24 Jan 2015 01:31:00 +0100
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