Lors de sa derrière visite en février dernier en Côte d’Ivoire, il avait relevé l’importance de "juger les détenus" de la crise post électorale qui a fait plus de 3000 morts.
Pour le gouvernement, la justice ivoirienne est désormais en mesure d’assurer un "procès juste et équitable" à Simone Gbagbo, d’où la décision prise récemment de ne pas la transférer à la Cour pénale internationale (CPI).
Selon le mandat émis par cette juridiction internationale, le 29 février 2012, la compagne de l’ex-président Gbagbo pouvait être poursuivie, à l’instar de son mari, pour crimes contre l’humanité après les violences postélectorales de 2010-2011. Depuis avril 2011, Mme Gbagbo est détenue à Odiénné.
In Le Démocrate
Mon, 07 Apr 2014 07:43:00 +0200
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