Pour sa part, le chef du Fpi s’est dit honoré de la visite des émissaires de l’Onu. Il a dit leur avoir expliqué la réalité ivoirienne qui ne plaide pas en faveur de l’organisation d’élections transparentes.
S’appuyant sur le dernier cas des menaces du maire d’Abobo et ministre Rdr, Adama Toungara, qui a monté des jeunes armés pour empêcher son meeting, dimanche dernier à Abobo, le président du Fpi a dit à ses interlocuteurs que les conditions sont loin d’être réunies pour l’organisation d’élections libres et démocratiques en Côte d’Ivoire.
Il a donc demandé aux émissaires de l’Onu de continuer à s’impliquer dans la médiation pour réunir les conditions d’une élection sans violence en 2015.
GTG
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Tue, 18 Feb 2014 04:36:00 +0100
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