La 24ème édition du Festival du film et de la télévision de Ouagadougou qui s’est tenue du 28 février au 7 mars 2015 était une édition de transition, bouclée en urgence après la révolution (qui a entraîné le limogeage de son délégué général Michel Ouedraogo, trop impliqué dans le parti de Blaise Compaoré) et dont la tenue était incertaine en raison de ces bouleversements et des menaces du virus Ebola. De petite dimension, avec bien moins d’invités et de festivaliers que de coutume, sans fêtes qui l’accompagnent et sans projections publiques de masse, cette édition s’est révélée fort problématique en terme de sélection des films. En dehors de quelques valeurs sûres qui avaient déjà fait le tour des festivals, cette édition sans découverte confirmait une tendance qui met en danger l’avenir même du festival. Analyse.Wed, 11 Mar 2015 22:55:00 +0100
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