S’en suit un court échange où les deux promettent de ne pas verser dans la petite phrase, avant que le chef de l’Etat n’en remette une couche sur le dos du président de l’Assemblée: "Et sur Accoyer, je suis parfaitement d’accord."
Mercredi, Bernard Accoyer avait déclaré, après avoir évoqué le programme du PS: "Si nous ratons ce rendez-vous de la responsabilité et du courage (la présidentielle, ndlr), les conséquences économiques et sociales pourraient être comparables à celles provoquées par une guerre".
La comparaison d’une victoire de la gauche en mai 2012 à une catastrophe digne d’une "guerre" a provoqué la colère des socialistes. Le PS a multiplié les communiqués depuis mercredi après-midi. Et ce jeudi matin, toute l’opposition, MoDem compris, ont critiqué cette sortie.
[Voir sur ce sujet notre zapping des matinales]
Avant même cet échange, Martine Aubry et Nicolas Sarkozy avaient déjà pu se saluer. A l’arrivée du chef de l’Etat, la maire de Lille lui avait lancé, selon Gilles Pargneau, premier secrétaire de la fédération PS du Nord, témoin de la scène: "Cette année, je n’ai pas eu le cœur de vous faire un cadeau, car vous n’avez pas fait de cadeau aux Français." Elle faisait ainsi référence au vélo offert en 2008.
"Le vélo, je l’utilise dans le Var l’été", lui a-t-il répondu. "Oui, c’est un vélo robuste parce qu’il est fabriqué dans le Nord", a conclu Martine Aubry.
lexpress.fr
Thu, 12 Jan 2012 16:54:00 +0100
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