Selon le verdict de la cour publié par le journal en ligne Alaan, Rachid Saleh al Anzi a posté en octobre dernier un tweet qui "met en pièces les droits et les pouvoirs de l’émir", le cheikh Sabah al Ahmad al Sabah.
Le condamné, suivi par 5.700 personnes sur le réseau social, va probablement faire appel, a dit à Reuters l’avocat, qui souhaite conserver l’anonymat.
Les manifestations autour d’évènements locaux sont fréquents au Koweït, l’un des pays du Golfe laissant le plus de place à la critique, mais les autorités ont adopté une attitude de fermeté vis-à-vis de la contestation sur internet.
Reuters
Mon, 07 Jan 2013 17:52:00 +0100
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