La CSCI interpelle également le gouvernement sur la nécessité de prendre toutes les dispositions sécuritaires appropriées pour permettre aux partis politiques de l’opposition d’exercer librement et sereinement leurs activités.
Rappelant les différentes perturbations des meetings du FPI à Koumassi, Port-Bouët, Aboisso et Alepé, témoignant de la persistance, dans le jeu politique ivoirien, du recours à la violence comme mode d’expression des désaccords, de la manipulation des militants utilisés comme instruments de déstabilisation des partis les uns contre les autres, la Convention de la société civile exhorte tous les acteurs de la scène politique ivoirienne à s’abstenir d’attitudes ou comportements de nature à compromettre la fragile réconciliation nationale en cours en Côte d’Ivoire.
(AIP)
Mon, 23 Jan 2012 22:51:00 +0100
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