« Quiconque tient l'histoire d'un peuple tient son âme, mais quiconque tient la spiritualité d'un peuple le contraint à vivre sous le joug d'une servitude éternelle. »

Cheikh Anta DIOP
Categories: Tribune

Paris : L’OPERATION « KODJOS » ROUGES EN MARCHE

Depuis le 11 Avril 2011, les Forces Rebelles de Côte d’Ivoire (FRCI) sévissent avec une cruelle atrocité en Côte d’ivoire et ont fait de la violation des Droits de l’Homme et de l’Epuration ethnique une réalité banale. Dans un récent rapport, AMNESTY INTERNATIONAL faisait cas d’un bilan terrifiant de crimes , d’homicides ciblés et systématiques commis par les forces Pro-Ouattara, qui ont exécuté des centaines d’hommes , de femmes et d’enfants de tout âge sur la base de considérations ethniques et politiques. Duékoué, dans l’ouest ivoirien est le symbole de ces actes ignobles et odieux, ville où plus de 800 personnes ont trouvé la mort dans des conditions indescriptibles dépassant l’imaginaire humain. Aujourd’hui, ces actes de barbarie sont banalisés, la mort rôde partout dans un climat de haine, de violences atroces et de terreur. Tout récemment le Lycée Classique d’Abidjan a été le théâtre d’enlèvements de lycéens par les Forces Rebelles de Côte d’Ivoire (FRCI) pour une destination jusqu’alors inconnue. Parmi les populations les plus vulnérables, les femmes sont devenues les victimes ciblées d’appétits bestiaux. Crimes et de viols collectifs sont commis sur elles sans que cela n’émeuve les organisations sur place. Le viol des filles de tout âge à Yopougon, le massacre de femmes à l’Eglise catholique de Duékoué, l’assassinat systématique de toute personne en particulier des femmes dénoncées comme n’appartenant pas au bord politique de Ouattara, sont des actes devenus aujourd’hui légion. Les déplacés vivent dans des conditions inhumaines, chose qui favorise les incursions de rebelles dans les camps de Duékoué, Guiglo et Bloléquin afin d’enlever des femmes et de les violer. L’Etat se liquéfie, les libertés fondamentales ainsi que les droits élémentaires sont bafoués. Géneviève Bro Grébe Présidente des Femmes Patriotes. Simone Ehivet Gbagbo Député d’Abobo, Première Dame de Côte d’ivoire, Marie Lorougnon Odette Député d’attiékoubé, Danielle Boni Claverie, Jacqueline Lohoues Oble, sont illégalement détenues par les forces de Ouattara.

Afin d’exiger la libération du Président GBAGBO
Et de toutes les femmes et autres prisonniers illégalement détenus par les forces de Ouattara

LES FEMMES PATRIOTES IVOIRIENNES DE FRANCE
Organisent un Grand meeting dénommé Opération KODJOS ROUGES

LE DIMANCHE 24 JUILLET 2011 A PARIS – TROCADERO

De 13 heures à 18heures

FEMMES PATRIOTES, FPI, RPP, COPACI, CRD, COJEP, FESCI, LE CRI PANAFRICAIN, GENERATION PATRIOTES, CURCI, CODECI, UMAD, MER
Contacts:
Léontine Topo: 0620670359
Pacome Zegbé: 0646570838
Jonas Zadi: 0626519726

Tue, 19 Jul 2011 16:45:00 +0200

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La Dépêche d'Abidjan

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