L’ÉTUDE
Dans l’étude 34 hommes et femmes ont eu à contempler les portraits de 189 hommes de type caucasien et avaient pour objectif de les noter selon leur degré d’infidélité. Les chercheurs ont ensuite comparés les résultats au passé de chacun des hommes en photo. Les femmes furent plus à même de déterminer qui était infidèle et qui ne l’était pas.
Les chercheurs ont encore écrit : « Nous avons réussi à prouver pour la première fois que les soupçons d’infidélité peuvent tout à fait se baser sur des mimiques ou une façon d’être. C’est le kernel* de la vérité« .
Les hommes quant à eux tentèrent de percevoir l’infidélité féminine sans aucun élément de preuve, simplement au vu de leur apparence, écrivent-ils encore.
Un adage dit On ne peut juger un livre par sa couverture. Grâce à cette étude et les résultats féminins on tend un peu à croire le contraire.
*En informatique Kernel est ce sur quoi tout repose.
Sources : rsbl.royalsocietypublishing.org, reuters.com
Fri, 03 May 2013 23:20:00 +0200
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