Les organisations criminelles et le grandes corporations, selon les auteurs, ils se remuent de la même façon et ils ont le mêmes objectifs: tous les deux se servent de la corruption pour raisons d’auto-preservation et pour protéger leurs affaires. La folie financière des ans 2000, avec le fruit empoisonné des subprimes, trove ses origines dans le dérégulation: les déficits de contrôles, de surveillance et de répression, a produit un comportement frauduleux en série, qui ne sont pas accidentelle, mais les symptômes d’un système qui est devenu sans règles. Les résultats sont spectaculaires: «Il s’agit d’une criminalité financière qui gouverne zones fondamentales du marché mondial: un système dans lequel le légal et l’illégal se fondent, au-delà et au-dessus des pouvoirs officiels des États».
Jean-François Gayraud – Carlo Ruta, Colletti criminali. L’intreccio perverso tra mafie e finanze, Castelvecchi Editore, Roma, février 2014
Sun, 09 Mar 2014 20:28:00 +0100
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