Selon des vendeuses interrogées, les aubergines que l’on trouve sur le marché de Dabakala, viennent du marché de gros de Bouaké. C’est donc le transport qui est à l’origine de cette augmentation.
"A Dabakala, les gens ont abandonné les cultures vivrières au profit des cultures de rente, alors qu’il y a beaucoup de bas-fonds propices à la culture vivrière dans la région", a déploré l’une d’entre elle, se disant choquée de se ravitailler de Bouaké.
Avec l’augmentation du prix de la noix de cajou, toutes les autres cultures ont été abandonnées au profit des champs d’anacardier, rapporte-t-on.
AIP
Tue, 14 Jul 2015 02:26:00 +0200
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