Mises en cause dans les violences de 2010 et 2011 en Côte d’Ivoire, plusieurs centaines de personnes ont bénéficié l’été dernier d’une amnistie décrétée par le président Alassane Ouattara. Mais cette amnistie est “illégale”, estiment trois associations de défense des droits de l’Homme qui viennent de déposer un recours devant la Cour suprême.
Lorsque le président ivoirien signe l’ordonnance d’amnistie le 6 août 2018, un nom sort du lot : Simone Gbagbo, l’épouse de l’ancien président. Mais officiellement, ils seraient 800 à en bénéficier.
L’amnistie présidentielle concerne “les personnes poursuivies ou condamnées pour des infractions en lien avec la crise post-électorale de 2010 ou des infractions contre la sûreté de l’État commises après le 21 mai 2011, à l’exclusion des personnes en procès devant une juridiction pénale internationale, ainsi que de militaires et de membres de groupes armés”.
Pour le président Ouattara, il s’agit de contribuer à la réconciliation, son chantier le plus sensible.
Amnistier pour réconcilier. Du côté des organisations de défense des droits de l’Homme, cette décision est incompréhensible. Après un premier recours resté sans réponse, trois d’entre elles se tournent à présent vers la Cour suprême. Démarche portée, notamment, par Drissa Traoré, vice-président de la FIDH. Entretien.Wed, 10 Apr 2019 08:37:00 +0200
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