Elle part donc de son domicile, au sous-quartier « Ferronnier », à la Riviera. Mais avant, elle demande à sa sœur cadette qui vit avec elle et qui garde sa fille, de fermer la porte, sans toutefois la verrouiller avec le crochet. De sorte à ce qu’elle puisse ouvrir cette porte à son retour, sans déranger personne. Et de rassurer que son lieu de rendez-vous n’est qu’à quelques mètres de la maison et qu’elle sera de retour sous peu. Mais contrairement à la promesse faite de rentrer dans très peu de temps, K.A ne pointe pas le nez chez elle jusque très tard dans la nuit. Les choses demeurent en l’état, jusqu’au matin. Et c’est justement ce qui inquiète les siens. L’employée de la Lonaci, nous informe-t-on, n’a pas l’habitude de découcher.
Que se passe-t-il donc ? La réponse à cette question, terrible du reste, on l’aura dans l’après-midi du lendemain jeudi 11 juillet 2013. En effet, dans la broussaille, non loin même de son domicile, K.A est découverte, mais morte. Sur le reste de son corps et son visage, d’atroces traces de violences inouïes. Et son agresseur qui ne voulait clairement lui laisser aucune chance de survie, lui a également brisé le cou. Le constat des agents des forces de l’ordre, à en croire nos sources, fait une mention très importante. C’est que la jeune dame avait le soutien-gorge remonté jusqu’au cou.
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Mon, 15 Jul 2013 09:01:00 +0200
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