La crise post-électorale montée de toutes pièces par la France et le secrétaire général de l’Onu, Ban Ki-moon, à travers son représentant spécial en Côte d’Ivoire, Young Jin Choi,a été le prétexte pour une partie de la communauté internationale,de servir un lot de sanctions à la Côte d’Ivoire. Pour contraindre le Président élu Laurent Gbagbo à céder le fauteuil à son rival et candidat malheureux, Alassane Ouattara, à la présidentielle du 28 novembre 2010. Retour sur des sanctions allant des interdictions de visas à l’embargo sur les produits pharmaceutiques, en passant par l’asphyxie économique du pays.Wed, 23 Mar 2011 09:19:00 +0100
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