Un coup de fil à Abidjan et nous voilà sur les traces du Sous-Chef d’État major des Forces Nouvelles. Ce même vendredi, une rencontre est organisée dans un hôtel, non sans précautions… Il est 16h quand nous débarquons sur le lieu du rendez-vous. Nous sommes accueillis par deux hommes, de véritables armoires à glace .
“Qui êtes-vous ? Comment avez-vous repéré le commandant ?”, interroge l’un d’eux. Le second, un militaire exilé, me reconnaît. Il coupe court : “ça va, c’est Axel Illary…”. Je le reconnais également. C’est mon ami A. , dont je n’avais plus de nouvelles… depuis plus de cinq ans. L’émotion est au rendez-vous. Je suis ensuite conduit chez le commandant Wattao, pour une prise de contact. L’ homme est là pour des soins. Nous lui expliquons le but de notre présence. Sans difficultés, il accepte de nous parler. Rendez-vous est donc pris pour le lendemain, Samedi 21 avril 2007, pour cet entretien réalisé caméra au poing.
“Qui êtes-vous ? Comment avez-vous repéré le commandant ?”, interroge l’un d’eux. Le second, un militaire exilé, me reconnaît. Il coupe court : “ça va, c’est Axel Illary…”. Je le reconnais également. C’est mon ami A. , dont je n’avais plus de nouvelles… depuis plus de cinq ans. L’émotion est au rendez-vous. Je suis ensuite conduit chez le commandant Wattao, pour une prise de contact. L’ homme est là pour des soins. Nous lui expliquons le but de notre présence. Sans difficultés, il accepte de nous parler. Rendez-vous est donc pris pour le lendemain, Samedi 21 avril 2007, pour cet entretien réalisé caméra au poing.
Sun, 22 Aug 2010 23:14:00 +0200
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