Les pro-Gbagbo croient donc en une libération, ne serait ce qu’à titre provisoire, pour l’ancien chef de l’État ivoirien. Pour le conseiller juridique de la CPI, c’est une éventualité qui est envisageable, mais elle reste encore soumise à l’appréciation des juges. « Les deux processus sont séparés en ce sens que la décision prise hier (lundi) par les juges, n’est pas une décision sur la détention.
D’abord M. Gbagbo conserve le droit de demander à tout moment, sa mise en liberté provisoire. Même s’il ne demande pas cette mise en liberté, la Chambre préliminaire devra, dans un délai de 120 jours, après sa décision prise en mars de le maintenir en détention, c’est-à-dire en juillet 2013, la Chambre devra reconsidérer si elle le maintient en détention ou pas », explique Gilbert Bitti. En clair, même si les conseils de Laurent Gbagbo introduisent une demande de mise en liberté provisoire – ce qu’ils se prépareraient d’ailleurs à faire selon de bonnes sources – la Chambre préliminaire a jusqu’en juillet prochain pour prendre une décision, conformément à la loi en vigueur en la matière.
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Thu, 06 Jun 2013 01:23:00 +0200
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