Ces nouvelles formes de vie ne sont pas en elles-mêmes illégales, mais elles peuvent constituer un danger pour la société. Il est impossible de dire ce qui se passera si elles se mettent à se multiplier.
A titre d’exemple, on peut rappeler que des scientifiques ont créé des souris avec un chromosome humain artificiel. Ceci est considéré comme une avancée qui pourra permettre de développer de nouvelles formes de traitements d’un certain nombre de maladies. Selon Lifenews.com, des scientifiques de l’Université du Wisconsin ont réussi la transplantation de cellules d’un embryon humain dans le cerveau d’une souris. Les cellules se sont développées, et ont rendu la souris plus intelligente. Ces souris peuvent sortir d’un labyrinthe et apprendre des signaux sonores bien plus vite qu’avant la transplantation.
Une question se pose : la transplantation de tissus humains sur des animaux apporte-t-elle plus de bien que de mal ? Il est déjà clair aujourd’hui que le développement d’organes humains transplantés sur des animaux n’est plus de la science-fiction mais bien une nouvelle réalité. Les scientifiques japonais ont commencé à utiliser les porcelets pour la culture d’organes humains, ce qui requiert jusqu’à une année.
Selon Infowars.com, le principal objectif de ces pratiques est d’augmenter le nombre d’organes disponibles à des fins médicales. Mais le gouvernement japonais s’est donné d’autres objectifs : les scientifiques développent les conditions permettant de mener des recherches sur des embryons humains.
Thetruthwins.com indique que si des organes humains se développent dans un porcelet, il ne s’agit plus à 100 % d’un porcelet. Et l’organe humain qui s’est développé dans un porcelet ne peut pas être à 100 % humain. Les receveurs de tels organes devront consentir à l’introduction dans leur organisme d’organes hybrides mi-hommes mi-animaux.
Les conséquences de cette hybridation pourraient menacer notre société dès maintenant, et dans le futur, mais le plus grand danger demeure l’impossibilité d’anticiper les conséquences d’une perte de contrôle sur ces hybrides.
Le plus inquiétant est qu’une série de pays ne disposent d’aucune loi pour restreindre la création de ces êtres, ce qui rend leur production incontrôlable. De plus, aucun « châtiment » n’est prévu pour ces créatures en cas de préjudice causé par ces dernières à leur entourage.
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Tue, 18 Feb 2014 04:03:00 +0100
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