Aujourd’hui, on peut encore apercevoir dans ce mur une porte métallique et, juste au-dessus, un auvent en parpaing et en tôle ondulée. De 1962 à 1993 – jusqu’à la mort d’Houphouët -, cet ouvrage a été soigneusement entretenu et gardé par l’armée française. Une reproduction aurait même été construite à l’intérieur de la citadelle de Bayonne, dans le sud-ouest de la France, pour permettre aux soldats du 1er régiment de parachutistes d’infanterie de marine (RPIMa) de s’entraîner. Houphouët ne s’en est jamais servi, mais pendant plus de trente ans ce tunnel a matérialisé le lien ombilical entre la France et son ancienne colonie.
Sat, 29 Aug 2015 02:14:00 +0200
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