France – Le Coordinateur du CRI-PANAFRICAIN passe la main : Alice Bao aux commandes
"Conformément à nos textes, 3 mois après mon élection, j’ai proposé une date au Bureau Exécutif en vue de l’élection d’un nouveau Coordinateur.
Les camarades avaient préféré me reconduire pour achever certains projets
Après « Noël à MAMA- LA HAYE », l’heure est venue pour moi, de me retirer. Je reste au Bureau du CRI—PANAFRICAIN, Je reste évidemment dans la Résistance.
Je suis heureux de vous informer que le Bureau du CRI-PANAFRICAIN vient d’élire Me Alice BAO comme nouvelle Coordinatrice.
J’accompagnerai effectivement la nouvelle Coordinatrice, et toujours dans l’esprit des lois, la passation de pouvoir se fera très bientôt.
Le Bilan de notre Coordination sera publié (sur notre très prochain site Web et sur mon profil Facebook) car votre implication dans nos projets exige un minimum de transparence dans la gestion de ces activités.
Compte tenu de l’État et des circonstances dans lesquels j’ai commencé mon mandat, je suis à la fois satisfait et très triste. Ma satisfaction est assez sobre, elle ne tient qu’au fait d’avoir maintenu la mobilisation et le CRI- PANAFRICAIN en mouvement. Pour le reste, les patriotes et les panafricains jugerons. Quant aux regrets, il y en a forcément.
La plus cuisante que nous devons tous partager (et je suis sérieux) est de n’avoir pas pu régler les différends entre nos camarades de lutte ABEL NAKY et WILLY BLA. J’estime que cet épisode a contribué à la démobilisation des patriotes. Je ne me suis pas encore prononcé la dessus mais cela ne saurait tarder. De cause à effets, je constate que je laisse la coordination du CRI- PANAFRICAIN sans avoir donné tout ce que je me sais capable d’apporter à cette Résistance. Un goût d’inachevé en quelque sorte, qui est vite annihilé par le constat que la lutte ne fait que commencer et nous sommes soumis au mot d’ordre éminemment officiel du Président GBAGBO à savoir : « aller jusqu’au bout ».
Comme toujours, je reste à la disposition de la Résistance. Je persiste et je signe que ma seule motivation reste celle qui nous a tous fait nous lever depuis le premier jour. Je ne suis pas concerné par les cancans et les « détails » qui gangrènent la Résistance. J’ai suffisamment confiance en moi pour fréquenter ou causer avec qui je veux, je sais que j’en reviendrai toujours intègre.
À tous ceux que j’ai pu frustrer durant mon mandat, je présente mes excuses.
Je remercie tout le bureau du CRI- PANAFRICAIN, les Associations partenaires et tous les mouvements de Résistance qui ont accompagné nos projets.
Mes remerciements vont à tous les artistes patriotes, particulièrement à ceux qui, en plus de nous offrir gracieusement leur art, se sont impliqué explicitement dans la lutte militante : Mahily Bah, Kommandant Simi OL, Clarisse Dadier , Serges Kassy, Benny Bezy, Zady Sax, ZougCasto et tant d’autres.
Pour 2012, mes souhaits les plus chers sont ceux que nous partageons le plus ensemble: LA LIBÉRATION DE GBAGBO, de tous les prisonniers politiques Ivoiriens et Africains, la libération de l’Afrique, le rétablissement de l’État de droit en Côte d’Ivoire, la souveraineté de nos États. Je nous souhaite donc une belle petite revanche sur la communauté internationale et ses négriers".
Les camarades avaient préféré me reconduire pour achever certains projets
Après « Noël à MAMA- LA HAYE », l’heure est venue pour moi, de me retirer. Je reste au Bureau du CRI—PANAFRICAIN, Je reste évidemment dans la Résistance.
Je suis heureux de vous informer que le Bureau du CRI-PANAFRICAIN vient d’élire Me Alice BAO comme nouvelle Coordinatrice.
J’accompagnerai effectivement la nouvelle Coordinatrice, et toujours dans l’esprit des lois, la passation de pouvoir se fera très bientôt.
Le Bilan de notre Coordination sera publié (sur notre très prochain site Web et sur mon profil Facebook) car votre implication dans nos projets exige un minimum de transparence dans la gestion de ces activités.
Compte tenu de l’État et des circonstances dans lesquels j’ai commencé mon mandat, je suis à la fois satisfait et très triste. Ma satisfaction est assez sobre, elle ne tient qu’au fait d’avoir maintenu la mobilisation et le CRI- PANAFRICAIN en mouvement. Pour le reste, les patriotes et les panafricains jugerons. Quant aux regrets, il y en a forcément.
La plus cuisante que nous devons tous partager (et je suis sérieux) est de n’avoir pas pu régler les différends entre nos camarades de lutte ABEL NAKY et WILLY BLA. J’estime que cet épisode a contribué à la démobilisation des patriotes. Je ne me suis pas encore prononcé la dessus mais cela ne saurait tarder. De cause à effets, je constate que je laisse la coordination du CRI- PANAFRICAIN sans avoir donné tout ce que je me sais capable d’apporter à cette Résistance. Un goût d’inachevé en quelque sorte, qui est vite annihilé par le constat que la lutte ne fait que commencer et nous sommes soumis au mot d’ordre éminemment officiel du Président GBAGBO à savoir : « aller jusqu’au bout ».
Comme toujours, je reste à la disposition de la Résistance. Je persiste et je signe que ma seule motivation reste celle qui nous a tous fait nous lever depuis le premier jour. Je ne suis pas concerné par les cancans et les « détails » qui gangrènent la Résistance. J’ai suffisamment confiance en moi pour fréquenter ou causer avec qui je veux, je sais que j’en reviendrai toujours intègre.
À tous ceux que j’ai pu frustrer durant mon mandat, je présente mes excuses.
Je remercie tout le bureau du CRI- PANAFRICAIN, les Associations partenaires et tous les mouvements de Résistance qui ont accompagné nos projets.
Mes remerciements vont à tous les artistes patriotes, particulièrement à ceux qui, en plus de nous offrir gracieusement leur art, se sont impliqué explicitement dans la lutte militante : Mahily Bah, Kommandant Simi OL, Clarisse Dadier , Serges Kassy, Benny Bezy, Zady Sax, ZougCasto et tant d’autres.
Pour 2012, mes souhaits les plus chers sont ceux que nous partageons le plus ensemble: LA LIBÉRATION DE GBAGBO, de tous les prisonniers politiques Ivoiriens et Africains, la libération de l’Afrique, le rétablissement de l’État de droit en Côte d’Ivoire, la souveraineté de nos États. Je nous souhaite donc une belle petite revanche sur la communauté internationale et ses négriers".
Au Revoir et à Bientôt
Kirmann Gnaoré
Sun, 08 Jan 2012 21:15:00 +0100
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