Il serait hasardeux de prendre à la légère le comportement du premier flic ivoirien. Quand il s’agit de réprimer les violations de la loi dans son camp, il traîne les pieds et parfois dit attendre le résultat de l’enquête avant de se prononcer. A cet égard, on attend toujours le résultat de l’enquête sur les casses successives dans les villes de l’intérieur comme dans la capitale économique ivoirienne en ce qui concerne les prisons. D’autre fois, avant l’enquête et même la condamnation par les juridictions nationales, il désigne les coupables objectifs surtout quand il s’agit de montrer les pro-Gbagbo du doigt. Pour qui ne cherche pas loin les motivations de cet homme, on a l’impression que ces décisions prises à la sauvette sont l’œuvre d’un corniaud. Mais en réalité, cela obéit à un plan bien huilé. Le hasard n’a pas sa place dans ces condamnations prématurées. A la lumière de cette réalité, confrontons le jugement de M. Ahmed Bakayoko avec les derniers évènements survenus en Côte d’Ivoire, notamment les attaques des commissariats de Yopougon et le camp militaire d’Akouédo.
D’ores et déjà, notons que nous sommes en Côte d’Ivoire, un pays dans lequel, il y a au moins quatre armées à savoir, les rebelles et les dozos mués en FRCI, l’ONUCI, la Licorne française et enfin la défunte armée de Côte d’Ivoire dont quelques rescapés demeurent les parents pauvres des FRCI. Par ailleurs, connaissant les rapports entre l’armée française Licorne et les fameuses FRCI, on peut raisonnablement douter de ce qui apparaît comme une facilité déconcertante de prise de la poudrière.
Sans l’accord de la perfide Albion, aucune attaque de cette nature ne peut avoir lieu en Côte d’ivoire. Affirmons donc avec force, que soit la France a déjà lâché le régime alassaniste, soit elle ne va pas tarder à le faire, car rien n’explique son inaction dans cette affaire. Disons même que si attaque il y a eu, c’est avec la bénédiction de l’Hexagone. Sa presse habituellement prolixe quand il s’agit de broyer du Gbagbo, s’est curieusement murée dans un silence glacial sur ces évènements.
Par ailleurs, quand on sait que M. Soro et consorts ont, lors de la fameuse marche des femmes d’Abobo, sacrifié ces pauvres dames en prenant soin d’en assassiner proprement quelques unes afin d’imputer la faute à Laurent Gbagbo, on peut légitimement douter que réellement ces attaques soient venues du camp adverse. Souvenons-nous de l’image sud-africaine du supplicié au pneu enflammé. Les « ressortissants de la république de l’hôtel du Golf n’ont pas hésité à brandir cette forfaiture en l’imputant aux autorités ivoirienne d’antan. Le résultat, on le connaît, le conseil de sécurité a pondu la résolution 1975 pour soi-disant éliminer les armes lourdes de Gbagbo. En réalité, Sarkozy et ses protégés savaient ce qu’ils visaient. En clair ces gens ne sont pas à leur premier coup d’essai. A preuve, certains FRCI savent qui a fait le coup. Ces accusations fantaisistes du premier flic ivoirien cachent une dure réalité :
– Primo, l’armée rebelle est divisée entre le groupe d’Alassane avec en tête Koné Zakaria et Chérif Ousmane face à la tendance Soro menée par Wattao, AB et les autres. Pendant les évènements d’Akouédo, Koné Zakaria aurait dit-on, opposé une fin de non recevoir à la venue des hommes de Wattao (Ceci expliquerait donc cela)
– Secundo, la même armée est divisée sur un autre front ; celui des Sénoufo contre les koyaka. Souvenons-nous de la conversation de M. Soro sur tweeter quand il dit avoir veillé toute la nuit, alors qu’il y a des gens mieux placés que lui pour s’inquiéter plus et diriger les opérations de sécurité. (Suivez mon regard)
– Tercio, les hommes du « général IB », les foh-gnons ou commando invisible auxquels se greffent les déçus de la politique de promesse mirobolante des millions à distribuer aux combattants. Le wari-fatchè dit ADO-solutions, n’est plus un vrai wattra-tchè parce qu’il ne respecte plus sa parole. Il est devenu pire qu’un boulanger. Ces mécontents-là l’attendent au tournant.
Alors, pour amener les puissances étrangères dont la France et les Etats-Unis à continuer à intervenir positivement dans leur sens, les autorités ivoiriennes n’hésiteront pas à s’attaquer aux intérêts de ces dernières… Pour tout dire, le régime pervers ivoirien ne recule devant rien quand il s’agit de monter des coups diaboliques. Nous ne sommes donc pas étonnés de voir que ces gens organisent eux-mêmes ces tueries. M. Ahmed Bakayoko et ses amis savent d’où leur vient le coup, mais pour nous distraire, ils préfèrent accuser l’opposition car, n’oublions pas que la seule personne qui peut sérieusement ébranler leur pouvoir s’appelle Laurent Gbagbo. Imaginons que le président réellement élu des Ivoiriens, soit libérable à compter du 13 août 2012, croyez-vous qu’ADO pourra gouverner tranquillement ? Ils ont une peur panique de Laurent Gbagbo. Par conséquent, il faut que leur épouvantail ne revienne pas de si tôt dans ce pays… Ils sont donc capables de se livrer à toutes sortes de subterfuges pour faire croire que les pro-Gbagbo très actifs sans leur mentor, deviendront incontrôlables quand il sera hors de prison. Cette perspective donne le tournis au régime Ouattara. D’où ce manège démoniaque de l’attaque tous azimuts au cœur même du pouvoir. Le représentant de Ban-ki Moon l’a avoué, mais n’est pas allé plus loin dans son raisonnement. Voilà pourquoi nous disons qu’il ne sert à rien au FPI de se limiter à démentir ces accusations. Ces gens veulent une chose, ils iront jusqu’au bout de leur logique. Laurent Gbagbo ne l’a pas compris et il a fait le tour vainement de toutes les capitales de la sous-région à la recherche de la paix. ..
Dénonçons le plan diabolique du régime Ouattara afin que les opinions nationale et internationale sachent ce qui se trame. Ne nous arrêtons plus à démentir notre implication dans les tueries, mais allons plus loin pour dire qu’ils tuent eux-mêmes leurs partisans sans état d’âme. Ils organisent eux-mêmes les tueries parce qu’ils ont échoué à réaliser leur promesse de pluie de milliards et surtout à mettre le pays au travail. Alors disons que les pompiers pyromanes ne prospèreront plus sous nos tropiques. Diffusons à outrance cette dénonciation du plan machiavélique du pouvoir afin que le monde entier sache comment agit le monstre que Nicolas Sarkozy a imposé à notre pays. M. Ahmed Bakayoko n’a pas du tout la berlue, il est certes fougueux, mais il a la tête bien calée sur les épaules. Acculons-les jusque dans leurs derniers retranchements.
D’ores et déjà, notons que nous sommes en Côte d’Ivoire, un pays dans lequel, il y a au moins quatre armées à savoir, les rebelles et les dozos mués en FRCI, l’ONUCI, la Licorne française et enfin la défunte armée de Côte d’Ivoire dont quelques rescapés demeurent les parents pauvres des FRCI. Par ailleurs, connaissant les rapports entre l’armée française Licorne et les fameuses FRCI, on peut raisonnablement douter de ce qui apparaît comme une facilité déconcertante de prise de la poudrière.
Sans l’accord de la perfide Albion, aucune attaque de cette nature ne peut avoir lieu en Côte d’ivoire. Affirmons donc avec force, que soit la France a déjà lâché le régime alassaniste, soit elle ne va pas tarder à le faire, car rien n’explique son inaction dans cette affaire. Disons même que si attaque il y a eu, c’est avec la bénédiction de l’Hexagone. Sa presse habituellement prolixe quand il s’agit de broyer du Gbagbo, s’est curieusement murée dans un silence glacial sur ces évènements.
Par ailleurs, quand on sait que M. Soro et consorts ont, lors de la fameuse marche des femmes d’Abobo, sacrifié ces pauvres dames en prenant soin d’en assassiner proprement quelques unes afin d’imputer la faute à Laurent Gbagbo, on peut légitimement douter que réellement ces attaques soient venues du camp adverse. Souvenons-nous de l’image sud-africaine du supplicié au pneu enflammé. Les « ressortissants de la république de l’hôtel du Golf n’ont pas hésité à brandir cette forfaiture en l’imputant aux autorités ivoirienne d’antan. Le résultat, on le connaît, le conseil de sécurité a pondu la résolution 1975 pour soi-disant éliminer les armes lourdes de Gbagbo. En réalité, Sarkozy et ses protégés savaient ce qu’ils visaient. En clair ces gens ne sont pas à leur premier coup d’essai. A preuve, certains FRCI savent qui a fait le coup. Ces accusations fantaisistes du premier flic ivoirien cachent une dure réalité :
– Primo, l’armée rebelle est divisée entre le groupe d’Alassane avec en tête Koné Zakaria et Chérif Ousmane face à la tendance Soro menée par Wattao, AB et les autres. Pendant les évènements d’Akouédo, Koné Zakaria aurait dit-on, opposé une fin de non recevoir à la venue des hommes de Wattao (Ceci expliquerait donc cela)
– Secundo, la même armée est divisée sur un autre front ; celui des Sénoufo contre les koyaka. Souvenons-nous de la conversation de M. Soro sur tweeter quand il dit avoir veillé toute la nuit, alors qu’il y a des gens mieux placés que lui pour s’inquiéter plus et diriger les opérations de sécurité. (Suivez mon regard)
– Tercio, les hommes du « général IB », les foh-gnons ou commando invisible auxquels se greffent les déçus de la politique de promesse mirobolante des millions à distribuer aux combattants. Le wari-fatchè dit ADO-solutions, n’est plus un vrai wattra-tchè parce qu’il ne respecte plus sa parole. Il est devenu pire qu’un boulanger. Ces mécontents-là l’attendent au tournant.
Alors, pour amener les puissances étrangères dont la France et les Etats-Unis à continuer à intervenir positivement dans leur sens, les autorités ivoiriennes n’hésiteront pas à s’attaquer aux intérêts de ces dernières… Pour tout dire, le régime pervers ivoirien ne recule devant rien quand il s’agit de monter des coups diaboliques. Nous ne sommes donc pas étonnés de voir que ces gens organisent eux-mêmes ces tueries. M. Ahmed Bakayoko et ses amis savent d’où leur vient le coup, mais pour nous distraire, ils préfèrent accuser l’opposition car, n’oublions pas que la seule personne qui peut sérieusement ébranler leur pouvoir s’appelle Laurent Gbagbo. Imaginons que le président réellement élu des Ivoiriens, soit libérable à compter du 13 août 2012, croyez-vous qu’ADO pourra gouverner tranquillement ? Ils ont une peur panique de Laurent Gbagbo. Par conséquent, il faut que leur épouvantail ne revienne pas de si tôt dans ce pays… Ils sont donc capables de se livrer à toutes sortes de subterfuges pour faire croire que les pro-Gbagbo très actifs sans leur mentor, deviendront incontrôlables quand il sera hors de prison. Cette perspective donne le tournis au régime Ouattara. D’où ce manège démoniaque de l’attaque tous azimuts au cœur même du pouvoir. Le représentant de Ban-ki Moon l’a avoué, mais n’est pas allé plus loin dans son raisonnement. Voilà pourquoi nous disons qu’il ne sert à rien au FPI de se limiter à démentir ces accusations. Ces gens veulent une chose, ils iront jusqu’au bout de leur logique. Laurent Gbagbo ne l’a pas compris et il a fait le tour vainement de toutes les capitales de la sous-région à la recherche de la paix. ..
Dénonçons le plan diabolique du régime Ouattara afin que les opinions nationale et internationale sachent ce qui se trame. Ne nous arrêtons plus à démentir notre implication dans les tueries, mais allons plus loin pour dire qu’ils tuent eux-mêmes leurs partisans sans état d’âme. Ils organisent eux-mêmes les tueries parce qu’ils ont échoué à réaliser leur promesse de pluie de milliards et surtout à mettre le pays au travail. Alors disons que les pompiers pyromanes ne prospèreront plus sous nos tropiques. Diffusons à outrance cette dénonciation du plan machiavélique du pouvoir afin que le monde entier sache comment agit le monstre que Nicolas Sarkozy a imposé à notre pays. M. Ahmed Bakayoko n’a pas du tout la berlue, il est certes fougueux, mais il a la tête bien calée sur les épaules. Acculons-les jusque dans leurs derniers retranchements.
Louis-Freddy Aguisso
Tue, 14 Aug 2012 21:02:00 +0200
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