Il est flanqué de son homme de main et d’autres proches. Quand il rentre dans la boîte de nuit, son arrivée déchaîne le disc-jockey qui s’égosille à annoncer le footballeur. La boîte de nuit est surchauffée. Arafat Dj monte sur la scène, c’est l’hystérie. Le Dj enflamme le night-club. Avec ses ataluku, il ne manque pas de séduire celui qui a décidé cette soirée-là de fêter une année de plus. Il encense le footballeur d’éloges. Comme il l’avait déjà fait avec d’autres tels Kader Kéita, l’international togolais Adébayor, Sessegnon et bien d’autres…
Devant cette vague puissante d’atalaku, le footballeur ne résiste plus. Commence alors une partie de travaillement sans arrêt. L’artiste est arrosé de billets craquants. Ce sont près de 2 millions de francs Cfa qui ont été ventilés par Boka Arthur. Une somme qui a d’ailleurs fait grincer quelques dents dont celles d’un artiste zouglou, proche du footballeur : « Je ne peux pas comprendre que mon ‘’petit frère’’ puisse me donner 200.000 francs et jeter près de 2 millions sur Arafat », a-t-il lâché.
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