Commémoration du 1er mai 2012 : Les travailleurs ivoiriens sous haute surveillance militaire et policière
Des travailleurs, militants de l’UGTCI, ont dénoncé avec vigueur la cherté de la vie et le racket des forces miliaires de Ouattara appelées FRCI. Avec insistance, ils ont demandé la baisse du prix de l’eau, de l’électricité, du coût du transport, du téléphone, du gaz, de l’huile, du lait , de la viande et le relèvement du niveau de salaire dans le privé et le public, par la voix du secrétaire général de l’UGTCI, M. Adé Mensah François, au siège de la centrale syndicale à Treichville au cours de la matinée. A cela, il faut ajouter la résolution relative à la relance du dialogue social au point mort et aux multiples atteintes des droits syndicaux des travailleurs.
La synthèse de toutes ces revendications a été lue à la Primature où Ahoussou Kouadio attendait de recevoir leurs exigences en l’absence du chef de l’Etat. La rétrocession de la MUGEF-CI aux fonctionnaires, la libération de Mahan Gahé Basile font également partie des préoccupations de l’UGTCI et de DIGNITE.
La FESACI, on ne sait trop pourquoi, n’a pas été admise à cette rencontre.
Félix Teha Dessrait in Notre Voie
dessrai@yahoo.fr
Wed, 02 May 2012 22:59:00 +0200
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