Côte d’Ivoire: Les bouffons de la République bananière – Des clowns prétendant être des politiciens chevronnés !

Les bouffons de la République bananiere , Zady Djedje et Evariste Yake, à l’aéroport de Port-Bouet
Que n’a-t-on pas vu depuis l’accession brutale, violente, meurtrière et tragique des rebelles nordistes à la solde de M. Ouattara, un pseudo démocrate prônant toutes sortes de violence et mensonges pour se hisser au pouvoir et de surcroit un ancien fonctionnaire du FMI et de la BECEAO pour avoir soi-disant étudié à Philadelphie, aux États-Unis d’Amérique, une des plus vieilles traditions démocratiques.

La prise de pouvoir par cette rébellion de fortune, soutenue et entretenue par le nain français devenu Chef d’État de son pays d’adoption, après avoir fait annuler les résultats des DOM-TOM afin d’avoir un sérieux avantage sur son adversaire politique, Dame Ségolène Royale, l’ex compagne de l’autre Chef d’état, incapable de maitriser ses pulsions sexuelles pour des jeunes filles deux fois moins âgées que lui, fut l’une des plus tragiques de l’histoire africaine. Du jamais vu nulle part ailleurs sauf en Côte D’Ivoire grâce à l’arrivée mitigée d’un burkinabè ou voltaïque passé pour ivoirien sans aucune trace de demande de naturalisation préalable et candidat exceptionnel et malheureux aux élections de Novembre 2010.

Cet individu fuyant ses origines voltaïques et non burkinabè car dans les faits, il demeure un voltaïque pour avoir quitté son pays d’origine en qualité d’étudiant voltaïque et non burkinabè. Peu importe que le nom du pays ait changé dans les annees 80, les premiers titulaires des passeports de service ou autres documents de voyage de l’époque de la Haute Volta, demeurent jusqu’à nos jours des voltaïques.
Il leur faudra changer de statut par le truchement d’une décision ministerielle, celle du ministère de l’Intérieur ou pour ceux qui résident encore à l’étranger, le ministère des Affaires Etrangères. C’est de façon abusive que les voltaïques se font appeler Burkinabès. Il est très important de le savoir.
Par conséquent, le Voltaïque Alassane Dramane Ouattara est l’auteur principal des malheurs et tribulations voire de l’hécatombe en Côte D’ivoire depuis sa tentative de prise de pouvoir en violation flagrante de l’article 11 ancien de la Constitution d’Août 1961. Depuis donc Décembre 1993 à nos jours, la Côte D’Ivoire fut rythmée selon les humeurs de cet imposteur et fraudeur venu de la Haute Volta pour soit disant redresser l’économie de la Côte D’ivoire, sous perfusion, suite au blocage et à la flambée des prix du café et cacao sur les marchés internationaux, créés de toutes pièces par feu le Président Houphouët-Boigny.

Cet individu dont l’on ignore tout, car son parcours politique et professionnel fut falsifié à souhait afin de le faire passer pour un génie et expert économiste, fut incapable en son temps d’apporter un quelconque soulagement aux pays africains dont il avait la charge, tel l’actuel RDC. Cela aurait pu interpeller les autorités ivoiriennes de l’époque afin d’éviter de nommer un incompétent notoire de la trempe de M. Ouattara.

Etant légendairement connu comme un mythomane de classe exceptionnelle, M. Ouattara avait fini par séduire les ivoiriens avec une série de décisions austères issues des formules vétustes et primitives du FMI, abusivement appelée PAS (Programme d’Ajustement structurel), une formule qui a même appauvri les pays de l’Amérique latine comme l’Argentine. La suite, nous autres, nous la savions. Ce fut un échec patent et lamentable avec comme cerise sur le gâteau une lourde dette de 6900 milliards CFA en 3 ans d’activités à la tête de la Primature.

Au lieu d’équilibrer l’économie ivoirienne en réduisant les dépenses inutiles de l’état et le gaspillage, cet homme est passé maitre dans la prestidigitation et a sérieusement endetté le pays avant son départ. L’on ignore jusqu’à nos jours la destination de cet argent ou la réalisation des projets qui en dépendaient.

Un audit en bonne et due forme aurait dû être engagé afin de tirer les leçons. Ceci ne fut jamais le cas car son « rival et successeur était très ivre pour donner les instructions idoines et exécutives. Cette dette fut passée sous les différents gouvernements jusqu’à celui du Président Gbagbo, administration qui prit l’engagement de réduire les dettes extérieures à travers les PPTE (Pays Pauvres Très Endettés), dont le régime d’analphabètes de M. Ouattara fut le grand bénéficiaire.
Au lieu de maintenir les choses en leur état en maitrisant l’inflation et le budget de souveraineté, M. Ouattara s’est encore lancé à sa course effrénée pour un surendettement afin de, selon lui, reconstruire le pays.
Le pays n’est toujours pas reconstruit à part quelques projets de l’ancien gouvernement dont les fonds furent sécurisés longtemps avant M. Ouattara et ses zozos et des couches de peinture et lumière sataniques dans les rues d’Abidjan.

L’on se demande encore que deviennent ces entrées d’argent des pays sollicités pour des prêts, la recette des ressources naturelles, les taxes et autres de la Douane et des ports autonomes d’Abidjan et de San-Pedro.
L’on ignore aussi le niveau ou le plafond des dettes ivoiriennes à nos jours.

Le régime dictatorial et d’incompétents notoires de M, Ouattara est toujours incapable de payer les agents et fonctionnaires de l’état et il est encore accroché aux mamelles de la France et de certains pays africains afin de subvenir aux besoins de la nation. Une telle attitude ou déséquilibre économique ne peut que traduire dans les faits, l’incompétence notoire avérée de cet homme passé pour un véritable gestionnaire et entouré d’analphabètes, de génocidaires et autres gangsters de la pègre ivoirienne comme associés, partenaires et collaborateurs. C’est l’image d’un borgne entouré d’aveugles dont il a la charge de conduire le destin.

En d’autres termes, un véritable intellectuel ne s’entoure pas de déchets de la société mais plutôt de la crème de la crème. C’est justement ce déséquilibre et désordre socio- étatique qui est à la base ou la source de la montée des bouffons de la république bananière dirigée par M. Ouattara et ses criminels.
L’excellence et le mérite ont foutu le camp laissant libre cours à la médiocrité des tenants du pouvoir actuel. Les érudits, les académiques, les intellectuels sont relégués au second plan au profit des analphabètes et illettrés pour avoir combattu dix ans durant le gouvernement Gbagbo.

La Côte D’Ivoire sous M. Ouattara est une nation dirigée par des incultes, des analphabètes et illettrés passant ou prétendant être des donneurs de leçons ou des démocrates. En réalité, ils sont incapables de tenir des discours audibles, compréhensibles et intelligibles. Ils manquent gravement de formation politique, à commencer par M. Ouattara, prônant les coups tordus et coups d’état comme uniques moyens d’accession au pouvoir. Il n’a jamais posé un acte d’ordre démocratique durant sa petite carrière d’homme politique. Il s’est retrouvé à la tête de son parti dans des circonstances encore très mitigées, suspectes alors qu’il n’avait ni la carrure, le charisme, la formation politique ou l’expertise. Par arrangements politiques, il s’est donc retrouvé à la tête du RDR après le décès très suspect du père fondateur du parti.
M. Ouattara n’a jamais milité dans un syndicat en Côte D’Ivoire, Haute Volta et à Philadelphia. Même étant appointé Premier Ministre du Président Houphouët-Boigny en 1993, il n’avait toujours aucune formation politique. C’est en réalité un homme ayant toujours bénéficié des largesses et des circonstances mitigées afin de se positionner sur l’échiquier politique ivoirien. Un tel individu ne pouvait que prôner les raccourcis politiques tels les coups d’états ou rébellion afin d’accéder au pouvoir. Son premier crime constitutionnel fut sa tentative d’accaparation du pouvoir en Décembre 1993, suite au décès du Président Houphouët-Boigny, en violation flagrante de l’article 11 ancien.
Depuis lors, cet homme venu de la Haute Volta a multiplié les tentatives de coups d’état en instrumentalisant les populations du nord et des étrangers de la sous-région sans oublier en diabolisant ses adversaires politiques tels les Président Bédié et Gbagbo. Son accession au pouvoir ne fut jamais de façon démocratique même si les ivoiriens ont massivement fait le déplacement en envahissant les bureaux de vote. Les résultats des élections présidentielles l’annonçaient grand perdant au premier tour.

Cependant, la machine infernale de la françafrique avait été activée afin que le Président Bédié soit écarté de la course au second tour au profit de M. Ouattara. Ce dernier fut la victime d’un chantage sans pareil, menace de gel de ses biens en Europe. Ainsi M. Ouattara se retrouve au second tour et est désigné Président de la République de Côte D’Ivoire par la communauté internationale.

Le Président Gbagbo souhaitant avoir une lecture claire et sans ambiguïté, avait réclamé le recomptage des voix comme cela fut le cas aux Etats Unis D’Amérique en 2000, en Afghanistan en 2010, en Haïti en 2012, au Kenya et Sénégal en 2013. Cette proposition fut rejetée par le candidat malheureux M. Ouattara et le Secrétaire Général de l’ONU, M. Ban Ki Moon. Pourquoi ? L’on ne le saura jamais.
Cependant, l’on peut confirmer ici que tout ceci contribuait à l’exécution du complot ou du coup d’état le plus long de l’histoire. La suite fut le bombardement de la résidence du Président Gbagbo et des installations militaires du pays, maladroitement avec l’appui d’une résolution fantoche.
Vues les conditions tragiques et anti-démocratiques et irrationnelles dans lesquelles le sieur Ouattara est arrivé au pouvoir, l’on ne pouvait espérer témoigner de l’expression de la démocratie ou le maintien des acquis démocratiques des années 90.
Comment espérer l’existence de l’état de droit venant d’un individu s’opposant à la Constitution de son pays d’accueil ? Comment espérer l’expression démocratique en Côte D’Ivoire pour un individu provoquant une guerre civile pour des questions purement électoralistes ?
Comment un individu sans formation politique puisse s’exprimer en termes démocratiques ?
C’est cela le déséquilibre étatique ayant créé le désordre étatique dans lequel la Côte D’Ivoire est plongée depuis le 11 Avril 2011.
La Côte D’Ivoire est devenue un état gangster, un état voyou, un no mans land, un Far West, un pays à forts taux de criminalité, un état sans droit, une république bananière au 21e siècle. La forme de gouvernance en Côte D’Ivoire est la « fusilcratie » ou la « démoncratie », à l’opposé de la démocratie et l’état de droit.

Les militants et sympathisants du RDR sont devenus des agents de l’ordre, semant la panique, la désolation, la tristesse et créant un cortège de victimes de toutes sortes parmi les vivants (prisonniers politiques) et des morts d’hommes (génocides, assassinats et tortures).
Voilà tristement peinte la situation politico-sociale en Côte D’Ivoire, un pays réduit à la haute mendicité malgré son immense richesse naturelle, un pays sans âme car il a aussi perdu toute souveraineté par la faute de l’actuel Chef d’état M. Ouattara et certains frères autochtones comme l’ancien Chef d’état M. Bédié. Un tel état africain ne peut que produire la médiocrité dans toutes ses formes.

La médiocrité au sein du régime ivoirien est légendaire voire légion. Il est tout à fait prévisible que les populations elles-mêmes soient aussi atteintes par cette médiocrité nordiste, installée par le sieur Ouattara.

Comme corolaires, la naissance ou la révélation d’une nouvelle classe de politicards se faisant passer pour des politologues à savoir le PAN Soro Guillaume, un individu ayant à peine achever sa licence et d’autres comme MM. Evariste Yaké et Zady Djédjé, est devenu la norme. Ce dernier est parmi les bouffons de la Republique, l’individu qui s’est fait le plus remarquer en créant malgré l’absence de compétence intellectuelle et insuffisance de formation politique, un parti politique abusivement appelé le FPU (Front Populaire Uni), le weekend dernier.

Les bouffons du régime sont nombreux en notre sein. Il y a d’autres comme les Kei Côte D’Ivoire, Patrice Kouté et bien d’autres sinistres individus affamés se proclamant pro-Gbagbo le jour et la nuit de véritables mendiants politiques pour leur propre compte et leur régime alimentaire.

La crise post-électorale a révélé au grand jour de sinistres et tristes individus, autrefois très zélés au sein de la Galaxie Patriotique sous l’administration Gbagbo, devenus en l’espace de 3 ans d’opposition et de mandat de M. Ouattara, de véritables pestes ambulantes pour le compte de l’ex rébellion et du RDR. Ces gens-là se proclament tous du Président Gbagbo mais n’hésitent point à le dénigrer, vendre ses collaborateurs aux plus offrants ou trahir sa philosophie et son parti.

Nombreux parmi ces bouffons de la République, prétendent être actifs pour le compte de la réconciliation. La réconciliation est devenue la monnaie courante dans cette république bananière pour les ex pro-Gbagbo afin de vendre leur service et ou contacts au régime tortionnaire d’Abidjan. Le comble est que ces animaux politiques sortis des déchets zoologiques de la politique du ventre, sont pour le régime des avocats et pour l’opposition des bourreaux. Et pourtant, ils se réclament tous être des pro-Gbagbo. Très controverse cette façon de faire la politique en Côte D’Ivoire !

L’on se renie et renie ses propres convictions afin de se nourrir et maintenir pour un grand nombre d’entre eux, autrefois entretenus par les canaux de la résistance, un semblant de prestige et de train de vie.
Comment comprendre qu’un individu se réclamant du Président Gbagbo puisse créer un parti à l’image du parti de son idole et s’opposer à ce même parti pour les élections à venir, apportant un soutien de taille au régime et à M. Ouattara sous des fallacieux prétextes de la pseudo-volonté de M. Ouattara et sa clique à aller à la réconciliation, avec un FPI s’opposant farouchement au dialogue ?

Si l’on s’oppose à son ancien parti, ce qui est possible, l’on ne peut se réclamer d’être de cette idéologie et ligne éditoriale et s’y opposer par la même veine. L’on ne peut vouloir une chose et son contraire. Le faisant, l’individu démontre et étale ses carences politiques et son ignorance totale de la chose ou formation politique. Un tel individu est dangereux pour lui-même et pour les populations qu’il entrainera aussi dans l’ignorance.

Les populations africaines sont en grande partie analphabètes et sont très souvent victimes de politicards de cet acabit, instrumentalisant et exploitant abusivement la naïveté des uns et des autres. Si des politicards prennent des raccourcis politiques, c’est justement à cause de la naïveté et de l’analphabétisme de nos populations. Ce qui revient à mettre en cause notre système éducatif et nos ambitions politiques d’éradiquer l’analphabétisme avant l’émergence en Afrique toute entière.

En d’autres termes, la politique en Afrique est ce qu’elle est à cause de l’analphabétisme. L’analphabétisme encourage les coups d’état, les rébellions, la corruption, la gabegie, le totalitarisme, la dictature, la pauvreté, la mort subite et réduit l’espérance de vie.

En d’autres termes, nous sommes nos propres bourreaux, aidés en cela par l’invasion et la mainmise des occidentaux. Si la bergerie n’est pas hermétiquement fermée, le loup s’invitera parmi les brebis les plus engraissées. C’est le cas actuellement en Côte D’Ivoire et ailleurs en Afrique. Notre sous-développement et notre retard accusé pour l’émergence entière en Afrique, est de notre propre faute ou fait.

Il nous revient de nous remettre en cause et questionner nos soit disant partenaires occidentaux, su ce qu’ils ont apporté en 53 ans d’indépendance africaine. Telle est la véritable question qui doit désormais nous animer. Sommes-nous pour une émergence africaine ou sporadique ou disparate ? Telle est la question !

b[Fait à Londres le 24 Avril 2014.

Nick De Bessou
Juriste & Anthropologue Politique
Président du FDRC
[Forum pour la Démocratie et la Résolution des Crises]
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Sat, 26 Apr 2014 13:07:00 +0200

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