La République ouattarienne en plein dans « le complot des sept casques bleus »
Que faire quand son régime prend l’eau de toutes parts ? Quand on cherche à dissimuler ses propres tares face à une résistance plus que déterminée ?
A ces questions, monsieur Dramane Ouattara, alias « la solution », a cru trouver la réponse idéale : préparer et mener une action contre Laurent Gbagbo et ses proches, à travers une entente secrète convenue entre lui, Human Rights Watch, les médias français, notamment France 24 et Rfi, et plus récemment, les dirigeants togolais. C’est ce qu’on appelle un complot. Dans une république bananière, comme l’est actuellement la Côte d’Ivoire, c’est souvent à travers des complots, que se règlent le compte de tous ceux que le régime voit d’un mauvais œil. Le régime accuse alors ses opposants de « rage » pour les « noyer ».
Sous Ouattara, Laurent Gbagbo et ses partisans sont accusés de tous les maux : les 3000 victimes de la guerre post-électorale, ce sont eux ; les tentatives de déstabilisation du régime de Dramane Ouattara, c’est toujours eux ; l’attaque qui a causé la mort de sept casques bleus de l’Onuci à la frontière ivoiro-libérienne, c’est encore eux…
Et pourquoi Laurent Gbagbo et ses partisans ne seraient-ils pas aussi responsables de la gestion calamiteuse de monsieur Ouattara et son corolaire de fracture sociale accentuée de misère intolérable et d’insécurité exceptionnelle ? Puériles élucubrations !
Monsieur Ouattara et ses quelques soutiens égarés, ont fait de Laurent Gbagbo et de ses partisans, leur bouc-émissaire. Il ne reste plus qu’à leur porter l’estocade finale pour, pensent t-ils, permettre enfin à Ouattara de dormir tranquille. La récente attaque qui a occasionnée la mort de sept casques bleus (paix à leurs âmes !), dans l’ouest de la Côte d’Ivoire, apparait à alors à leurs yeux, comme l’occasion rêvée, pour peaufiner ce que nous appellerons: « le complot des sept casques bleus ». Ils n’y vont pas de main morte, lui et ses partisans, pour accabler les proches de Gbagbo, à quelques jours du procès de leur leader.
Seulement, ce complot, maladroitement ficelé, ne résiste pas aux questions les plus simples et finit par se montrer sous son véritable jour, c’est à dire grossier et tout à fait ridicule. Car, comment arrivent-ils à identifier formellement les assaillants qui ont perpétré ces crimes, pour les désigner comme des « miliciens pro-Gbagbo » ? On se demande bien comment ces derniers, ont réussi à opérer dans une région pourtant déclarée « sous contrôle » par Ouattara et l’Onuci ? Une région où pullulent pourtant, milices dozos, Frci et mercenaires burkinabés favorables à Ouattara ? Finalement, comment arrivent-ils, sans aucune présomption d’innocence, à pointer du doigt le camp de Laurent Gbagbo si facilement et sans fondement aucun ? Faudrait être animé d’un esprit perfide pour donner dans de telles absurdités. Devrions-nous, nous en étonner ou nous en indigner ? Que non. Evitons de nous donner ce mal. Alassane Ouattara et ses suiveurs, sont depuis toujours restés égaux à eux-mêmes : violents, dénués de tout sens du jugement intellectuel doublé d’un amateurisme politique criard.
Les complots, la Côte d’Ivoire en a connu, à divers moments de son histoire: « le complot du chat noir », « le complot du cheval blanc », « le complot de la Mercedes noir »… Aujourd’hui, plusieurs années après, à ces vrais ou faux complots blancs ou noirs, monsieur Ouattara, vient d’ajouter le sien, cette fois, avec la couleur bleue: « le complot des sept casques bleus ». Il espère ainsi s’attirer la sympathie de l’opinion internationale, en se faisant passer pour l’agressé, tout en diabolisant ses adversaires. L’arrestation du ministre Lida Kouassi Moïse en fait partie.
Grave erreur, ce complot ne sauvera pas le régime ouattarien. Pour la simple raison que les seuls vrais maîtres du terrain, les ivoiriens, témoins vivants et oculaires de tout se qu’il trame, ont déjà donné leur verdict. Il est sans appel : Ouattara aura beau comploté, il n’est pas et ne seras point l’homme qu’il faut à la Côte d’Ivoire.
A ces questions, monsieur Dramane Ouattara, alias « la solution », a cru trouver la réponse idéale : préparer et mener une action contre Laurent Gbagbo et ses proches, à travers une entente secrète convenue entre lui, Human Rights Watch, les médias français, notamment France 24 et Rfi, et plus récemment, les dirigeants togolais. C’est ce qu’on appelle un complot. Dans une république bananière, comme l’est actuellement la Côte d’Ivoire, c’est souvent à travers des complots, que se règlent le compte de tous ceux que le régime voit d’un mauvais œil. Le régime accuse alors ses opposants de « rage » pour les « noyer ».
Sous Ouattara, Laurent Gbagbo et ses partisans sont accusés de tous les maux : les 3000 victimes de la guerre post-électorale, ce sont eux ; les tentatives de déstabilisation du régime de Dramane Ouattara, c’est toujours eux ; l’attaque qui a causé la mort de sept casques bleus de l’Onuci à la frontière ivoiro-libérienne, c’est encore eux…
Et pourquoi Laurent Gbagbo et ses partisans ne seraient-ils pas aussi responsables de la gestion calamiteuse de monsieur Ouattara et son corolaire de fracture sociale accentuée de misère intolérable et d’insécurité exceptionnelle ? Puériles élucubrations !
Monsieur Ouattara et ses quelques soutiens égarés, ont fait de Laurent Gbagbo et de ses partisans, leur bouc-émissaire. Il ne reste plus qu’à leur porter l’estocade finale pour, pensent t-ils, permettre enfin à Ouattara de dormir tranquille. La récente attaque qui a occasionnée la mort de sept casques bleus (paix à leurs âmes !), dans l’ouest de la Côte d’Ivoire, apparait à alors à leurs yeux, comme l’occasion rêvée, pour peaufiner ce que nous appellerons: « le complot des sept casques bleus ». Ils n’y vont pas de main morte, lui et ses partisans, pour accabler les proches de Gbagbo, à quelques jours du procès de leur leader.
Seulement, ce complot, maladroitement ficelé, ne résiste pas aux questions les plus simples et finit par se montrer sous son véritable jour, c’est à dire grossier et tout à fait ridicule. Car, comment arrivent-ils à identifier formellement les assaillants qui ont perpétré ces crimes, pour les désigner comme des « miliciens pro-Gbagbo » ? On se demande bien comment ces derniers, ont réussi à opérer dans une région pourtant déclarée « sous contrôle » par Ouattara et l’Onuci ? Une région où pullulent pourtant, milices dozos, Frci et mercenaires burkinabés favorables à Ouattara ? Finalement, comment arrivent-ils, sans aucune présomption d’innocence, à pointer du doigt le camp de Laurent Gbagbo si facilement et sans fondement aucun ? Faudrait être animé d’un esprit perfide pour donner dans de telles absurdités. Devrions-nous, nous en étonner ou nous en indigner ? Que non. Evitons de nous donner ce mal. Alassane Ouattara et ses suiveurs, sont depuis toujours restés égaux à eux-mêmes : violents, dénués de tout sens du jugement intellectuel doublé d’un amateurisme politique criard.
Les complots, la Côte d’Ivoire en a connu, à divers moments de son histoire: « le complot du chat noir », « le complot du cheval blanc », « le complot de la Mercedes noir »… Aujourd’hui, plusieurs années après, à ces vrais ou faux complots blancs ou noirs, monsieur Ouattara, vient d’ajouter le sien, cette fois, avec la couleur bleue: « le complot des sept casques bleus ». Il espère ainsi s’attirer la sympathie de l’opinion internationale, en se faisant passer pour l’agressé, tout en diabolisant ses adversaires. L’arrestation du ministre Lida Kouassi Moïse en fait partie.
Grave erreur, ce complot ne sauvera pas le régime ouattarien. Pour la simple raison que les seuls vrais maîtres du terrain, les ivoiriens, témoins vivants et oculaires de tout se qu’il trame, ont déjà donné leur verdict. Il est sans appel : Ouattara aura beau comploté, il n’est pas et ne seras point l’homme qu’il faut à la Côte d’Ivoire.
Marc Micael
Zemami1er@yahoo.fr
Wed, 13 Jun 2012 11:32:00 +0200
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