Pendant que l’Europe agonisait, Hitler se la coulait douce !

Hitler regardant les montagnes de l'Obersalzberg depuis le balcon de sa résidence, le Berghof. © AFP PHOTO FRANCE PRESSE VOIR
On savait déjà que le 6 juin 1944 – il y aura bientôt 70 ans -, lorsque les défenseurs allemands du mur de l’Atlantique ont compris, en voyant une immense armada à l’horizon, que c’était en Normandie et non dans le Pas-de-Calais que le débarquement des alliés avait lieu, personne n’osa réveiller Hitler. Parce qu’en dépit de l’urgence de la situation pour la Wehrmacht, tous ceux qui entouraient le Führer au Berghof (sa résidence secondaire) savaient qu’il ne supportait pas d’être réveillé. Et tous craignaient les accès de colère du maître de l’Allemagne, dont on n’imagine pas à quel point ils devenaient des éruptions d’une rage insensée capable de se déverser sur le premier venu. Car Hitler tenait à ses grasses matinées, dont celle qui est sans doute la dernière survivante de son repaire des Alpes bavaroises raconte qu’elles se prolongeaient régulièrement… jusqu’à deux heures de l’après-midi.

Il faut dire qu’Hitler se ménageait fréquemment un en-cas au milieu de la nuit. Il se rendait en douce dans les cuisines, où, en prévision de ses insomnies, était toujours préparé par les cuisinières ce qu’on appellerait aujourd’hui un crumble à base de pommes et de raisins secs, et que les employés du Berghof avaient fini par appeler "le gâteau du Führer".
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Wed, 30 Apr 2014 20:15:00 +0200

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