Rattrapage ethnique : « La Charte du Nord », le document qui planifie le rattrapage ethnique et tribal sous le régime Ouattara

C’est quoi la Charte du Nord ? C’est une Charte nordiste dites "anonyme", intitulée "Le Grand Nord en marche". Elle fut diffusée à grande échelle sous forme de tract, puis relayé dans différents journaux dès 1991 (Version 1: Le levain de l’insurrection…) puis en 2002 la seconde version ci-dessous.

LA CHARTE DU NORD

Au moment où tout le monde cherche les origines de tout le monde, ce qui est presque devenu un jeu, une sorte de «Trivial-Pursuit», version tropicale, avec son cortège de «manipulation Ad hominem»conduit par des «Blakoros» et des «Boussoumanis » appelés Ivoiritaires, le grand Nord, victime ciblée, doit se lever pour dire: ça suffit ! Jusqu’à quand ce monstre «politico- économico-juridique» baptisé « Ivoirité» va-t-il persécuter ses filles et fils ? De Bédié à Gbagbo en passant par Guéi, les Nordistes sont restés dans la même spirale de mépris de la part des différents régimes. Les Nordistes ne sont-ils pas les premiers à avoir foulé la terre d’Eburnie dès le 13e siècle?
La Côte d’Ivoire, notre Côte d’Ivoire, appartient avant tout au Nordiste qui a toujours su défendre ses intérêts. Pour mémoire, à l’appel du leader politique, Félix Houphouët- Boigny, qui incarnait à l’époque la lutte contre la crise née de l’oppression et de l’asservissement, celle des inégalités sociales et de l’exploitation, le patriarche Gon Coulibaly a été le premier parmi tous ses pairs de la chefferie ivoirienne à y répondre, en portant haut et sans défaillance l’étendard de cette lutte au prix de mille et une péripéties. Imité en cela par son peuple, les communautés
Sénoufo et Malinké du Grand Nord qui ont également été les toutes premières à constituer l’avant-garde de cette lutte en ayant un modèle de mobilisation massive et spontanée, d’adhésion collective dont on ne saurait énumérer, aujourd’hui, tous les hauts faits accomplis au prix de sacrifices de tous genres. Si la rencontre historique, celle de Korhogo, du leader politique d’un mouvement d’émancipation, le Rda, et du chef spirituel d’un peuple, a scellé un pacte entre les 2 personnes, il est aisé de deviner ce qu’a pu être le contenu dudit pacte. Assurer la succession de ses enfants et petits enfants sur son trône pour la bonne conduite des affaires de son territoire, garantir la pérennité de son pouvoir à travers ses héritiers, mener son peuple au bonheur et au progrès, promouvoir le bien-être à travers tout son pays, voilà qui devait résumer l’essentiel des vœux du patriarche Gon Coulibaly. Bien avant le leader politique, en homme spirituellement très doué, le patriarche Gon Coulibaly avait pressenti le triomphe des idéaux du Rda, ce qui a motivé et justifié sa prise de position anticipée et irréversible alors que parmi les autres groupes ethniques de Côte d’Ivoire, notamment le groupe akan, le Rda était boudé, souvent combattu avec la dernière énergie. L’apport massif du Grand Nord, l’adhésion collective de ses fils mus par une détermination farouche qui a souvent fait reculer l’administration coloniale, quoi que l’on dise aujourd’hui, ont figuré en bonne place parmi les facteurs décisifs de la facile victoire du Rda. Il faut se dire, et chacun le sait par devers soi, que sans la constance de la participation agissante et opiniâtre, collective et solidaire des fils du Grand Nord, à l’intérieur comme à l’extérieur de leur région, le triomphe des idéaux du Rda eut été difficilement concevable. Cette crise-là, la plus perverse, la Côte d’Ivoire a su la surmonter, la vaincre et l’un des artisans de cette victoire est le fils valeureux du Grand Nord, qu’était Gon Coulibaly. Malheureusement, il n’a pas survécu pour savourer avec les autres le fruit de la victoire. Pour le peuple qu’il a laissé derrière lui, ce fruit a plutôt eu un goût amer parce que le résultat n’a nullement correspondu,aux engagements pris ; et à l’attente des populations du Grand Nord. De sa tombe, le patriarche a pu assister à l’abolition méthodique et orchestrée de son autorité, à la désintégration des structures de son commandement qu’étaient les chefferies de canton et de village.
Ce que l’Administration coloniale a trouvé sur place lors de la pénétration française, ce que cette administration a épargné et a su respecter, ce que le raz-de-marée de l’Almamy Samory Touré a également épargné, ironie du sort, c’est cela que la nouvelle administration ivoirienne, issue de la décolonisation à laquelle le patriarche Gon Coulibaly a pourtant si efficacement contribué, cette administration ivoirienne prend sur elle la responsabilité de détruire, on ne sait au nom de quel principe.
Depuis trois semaines, la question qui pèse sur toutes les langues au Grand Nord sans être posée, soit par crainte des représailles prévisibles de l’autorité en place, soit par mesure de précaution pour sauvegarder des intérêts personnels, demeure la suivante: "pourquoi l’administration ivoirienne s’est-elle acharnée à détruire sur toute l’étendue du Grand Nord, les structures de commandement qu’étaient les chefferies traditionnelles alors que dans la partie sud du pays, ces mêmes chefferies sont, de nos jours, encore tolérées" ?
Mieux, la tradition de la succession est toujours de rigueur et les cérémonies qui matérialisent généralement cette succession, sont honorées de la présence des représentants officiels. Là où le bât blesse, cette chefferie a droit de cité puisqu’on la retrouve au protocole présidentiel d’accueil, à l’occasion de toutes les visites des hôtes de marque de la Côte d’Ivoire. Contestable et inique, apparaît également le régime de la propriété foncière où l’anomalie réside dans le fait que ce régime au Grand Nord obéit au principe de notre Constitution selon lequel la terre appartient à l’Etat, alors qu’au sud de notre pays, dans toute la zone forestière, l’autochtone a droit de propriété sur les terres de ses ancêtres. Là encore, l’autorité administrative tombe sous le coup de l’interpellation, car la politique de deux poids deux mesures si chère à cette autorité ne l’honore nullement.
Au-delà de l’interpellation, il y a la révision qui en appelle à la réhabilitation, à laquelle aspirent tous les fils du Grand Nord. La réhabilitation en question passe forcément par un retour des choses à l’ordre ancien, ou par une remise en cause de tout le système, dans un contexte national, pour une solution juste et réaliste. C’est aussi ce besoin de réhabilitation de la mémoire du patriarche Gon Coulibaly, commandeur du peuple sénoufo, auquel le peuple malinké reste solidaire. Besoin il y a également d’une journée commémorative en l’honneur de nos patriarches à travers trois aventures, l’aventure de
la présence française imposée par la force, l’aventure du fait colonial, en passant par l’intermède de l’Almamy Samory Touré et l’aventure de la lutte émancipatrice, qui ont su, par leurs dons exceptionnels, mettre leur peuple à l’abri des périls liés à chacune de ces aventures. Journée commémorative en tant que symboles par lesquels tous les fils de la région se reconnaîtront désormais pour aborder et réaliser le ralliement constructif autour d’une idée force : «un pour tous, tous pour un» au service de l’intérêt supérieur d’un Grand Nord réhabilité en tant que membre à part entière d’une nation ivoirienne forte et harmonieuse. Faire renaître le sentiment de l’attachement mutuel sur fond de nos affinités traditionnelles, raviver la notion de solidarité ethnique entre communautés unies par un même destin, propager la vertu de l’esprit de sacrifice pour forger un idéal lumineux, redéfinir une position commune au sujet d’un modèle de société où l’égalité sera la règle, voilà qui constitue une ambition prétentieuse, mais non impossible.
Battre le rappel de tout le Grand Nord en vue d’une action concertée résolument tournée vers une option dont le principe directeur sera : « Ni à droite, ni à gauche, mais au milieu ».
Un milieu à même de s’imposer comme arbitre. C’est cette vocation-là qui sied désormais au Grand Nord, vocation à laquelle tous les fils du Grand Nord se doivent de contribuer. Il importe désormais de situer le Grand Nord à l’écart du Pdci, très loin du Fpi, qui n’a pas hésité un seul instant à tuer ses fils. Parce que cette région doit emprunter sa propre voie, car la différence de zone entraîne, ipso facto, une différence de compréhension et de comportement et une différence d’intérêts, lesquels peuvent être complémentaires mais jamais semblables.
En fonction de la nouvelle démarche que le Grand Nord doit entreprendre, eu égard à la spécificité de la quête à laquelle il doit se livrer, parce qu’il y a ce besoin ardent d’identité à conquérir et afficher, cette aspiration légitime d’affirmer au plan national une personnalité régionale forte et indépendante, une telle prise de position s’impose désormais comme la voie du salut.
Le Président Félix Houphouët-Boigny, dans le passé, a fait figure de messie. Le Grand Nord n’entend pas être la nouvelle victime de qui que ce soit, une fois, ça suffit. Le Grand Nord entend donc s’organiser en fonction de ses intérêts bien propres. Notre initiative dispose de quoi toucher la sensibilité des masses, des arguments et du langage approprié à cet effet. Enfin, dernière motivation, être toujours à la remorque d’auteurs de courants politiques, auteurs étrangers à notre région, n’honore nullement les fils du Grand Nord dont l’esprit d’entreprise et de créativité n’est plus à démontrer.
Jouer éternellement les seconds rôles, n’a nullement rien d’honorable pour ses fils. Se prêter à servir toujours de supports aux autres pour la réalisation de leurs desseins, ne peut que déranger l’amour propre et la conscience des uns et des autres, avec le sentiment coupable des nôtres. Aussi, serait-ce trop que demander à chaque fils originaire de ce Grand Nord, digne et fier de l’être, de faire fi de ses susceptibilités individualistes, de faire taire ses ambitions personnelles afin de pouvoir apporter sur l’autel de l’union sacrée, le meilleur de soi-même?
Depuis 1985, la Côte d’Ivoire traverse une autre crise, économique cette fois-ci, la plus grave de sa jeune histoire de nation. Toutes les tentatives jusqu’en 1989 pour juguler cette crise ont été infructueuses. On se souvient même que le programme Koumoué de relance économique, a mené le pays à un doigt de la révolte populaire.
Devant l’incapacité notoire de ses proches collaborateurs à trouver une solution à cette crise, le Président Houphouët-Boigny, en désespoir de cause, fait appel à un Ivoirien de l’extérieur, en la personne d’Alassane Dramane Ouattara, alors gouverneur de la Bceao. C’est alors le tollé général orchestré par les ténors du régime et par d’autres Ivoiriens de la zone forestière pour contester à Alassane Ouattara sa qualité d’Ivoirien. Pour eux, c’est un Burkinabé. Tout fils du Grand Nord se trouve généralement indigné et choqué par le comportement de l’Ivoirien de la zone forestière. Pour lui, le porteur d’un nom à résonance dioula ou sénoufo est, ipso facto, un étranger, un Ivoirien de circonstance. Que n’entend- on pas à longueur de journée "Vous les Dioula ceci, vous les Dioula cela». Cette opinion a entraîné un comportement qui empoisonne la cohabitation et notre initiative va être la réaction prévisible à cet état de choses, quitte à déboucher sur la rupture.
Il convient d’interpeller cette catégorie d’Ivoiriens sur les sujets qui font du Grand Nord une région laissée pour compte et de ses habitants, des citoyens de seconde zone. Il est temps et grand temps de crever l’abcès que constitue cette situation qui n’en finit pas d’empoisonner les relations entre communautés. Continuer à vivre dans cette atmosphère empoisonnée, en gardant le «Modus vivendi» actuel n’est plus acceptable pour le Grand Nord. C’est pourquoi du reste, la liberté d’expression et la démocratie aidant, la présente initiative est promise à un grand succès et ne manquera pas de soulever l’enthousiasme populaire.
Les arguments à cet effet seront au rendez-vous. Parce qu’ils sont oublieux de la géographie et de l’histoire de leur pays, ces Ivoiriens ignorentque la pénétration française a passé par Kong bien avant la plupart des contrées de Côte d’Ivoire, que la région de Kong fait bel et bien partie de l’ensemble territorial ivoirien.
A Kong, depuis des millénaires, le pouvoir temporel, la chefferie, est exercé par les Ouattara et le pouvoir spirituel par les Sanogo. Les Ouattara et les Sanogo de Bobo-Dioulasso, de Banfora et leurs environs, seule région où on les rencontre, sont originaires de Kong. Alassane Dramane Ouattara, né en Côte d’ivoire, ayant ses origines à Kong, donc en Côte d’ivoire, est un authentique Ivoirien à part entière et un titulaire de l’identité du Grand Nord.
En marge de cette affaire, on peut, à loisir, évoquer le cas « Usher Assouan». Aucune voix ne s’est élevée en aucun moment, pour lui contester la qualité d’Ivoirien. Suivant l’opinion généralement admise dans le Sud-Côte d’ivoire, n’est Ivoirien que celui qui appartient à la zone forestière. Même leurs intellectuels s’accordent sur cette définition et la cautionnent.
Le Grand Nord doit faire bloc autour d’Alassane. Lui prêter main forte dans le bras de fer qui l’oppose aux chantres de l’ivoirité, devient une nécessité absolue. L’assister de notre concours afin qu’il ne tombe pas dans les pièges que lui tendent le régime Fpi et certains ténors du Pdci s’inscrit en bonne place au tableau de nos activités. Insulter un des nôtres, le traîner dans la boue et ensuite venir au Grand Nord, chez lui, tenter de mobiliser ses frères en faveur d’une politique qui lui est hostile, constitue un affront auquel nous n’avons pu répondre pour le moment parce que nous ne réunissons pas encore les conditions idéales à cet effet. La défense d’Alassane figure en bonne place parmi nos objectifs.
Cependant, nous tenons à préciser, tout de suite, que nous ne connaissons pas le Premier ministre, nous ne l’avons jamais approché ni de loin, ni de près et notre intention n’est pas de le côtoyer et encore moins de l’intéresser à notre projet. Nous préférons l’ignorer et le tenir à l’écart de nos futures activités, afin qu’il ne puisse lui être reproché d’être l’instigateur ou le commanditaire de notre projet.
Il faut désormais militer en faveur d’un Grand Nord qui n’entend plus être à la remorque que d’un courant politique prôné et dirigé par un des siens. Lutter pour l’avènement d’un Grand Nord qui ne veut plus s’identifier à travers les autres, un Grand Nord soucieux de se doter d’une personnalité forte, d’affirmer celle-ci au plan national etd’assumer pleinement ses responsabilités dans un ensemble ivoirien cohérent.
Du fait que notre action va reposer sur un fondement d’équité, sans discrimination aucune, parce qu’elle incarne des aspirations, légitimes bien ressenties par les populations d’une région tout entière, parce que les dispositions physiques et morales de ces populations ont toujours su les mettre au service d’une cause noble, parce que la disponibilité proverbiale desdites populations a constitué dans le passé, pour le Rda, les facteurs de la victoire, nous faisons des vertus cardinales de ces populations, l’atout majeur de notre succès futur. Notre ambition aura pour objectif: «Un Grand Nord uni, fort, crédible dans un ensemble ivoirien rénové et cohérent où seules la qualité et la compétence seront les critères d’appréciation, de promotion, ou la notion de l’intérêt supérieur du pays primera celle de l’intérêt égoïste, personnel». Pour y parvenir, une seule ligne de conduite, celle que traite notre document, qu’il ne faut nullement assimiler à une quelconque forme d’incitation au racisme.
Il convient d’insister sur notre position, les interprétations malveillantes et erronées pouvant nous être attribuées.
Le cas Alassane est de ceux qui s’insèrent de plein droit au concept d’un Grand Nord en tant qu’entité régionale, zone d’influence responsable.
Celle-ci doit rester constamment attentive à l’écoute de tout ce qui la touche de près ou de loin. Appartenir à cette zone explique notre conduite et justifie notre prise de position en faveur de l’ancien directeur général adjoint du Fmi en reconnaissant en lui des capacités à conduire la barque Côte d’ivoire.
Ils sont nombreux les fils du Grand Nord qui, par leur compétence, leur intégrité et leur dévouement, sont tout aussi aptes à jouer les premiers rôles dans ce pays. Pourtant, notre initiative ne saurait être à la solde de qui que ce soit, tout en restant au service de tous. Mais pour le moment, celui qui mérite tout le soutien du Grand Nord est le docteur Alassane Dramane Ouattara.
Nous militons Grand Nord et nous sommes des défenseurs mobilisés des intérêts de notre région.

Vive un Grand Nord uni, fort, crédible.

Vive une Côte d’Ivoire rénovée, équitable, cohérente.

Pour le comité constitutif
Le président provisoire

Quelques unes des nominations ethniques de Ouattara

• Directeur Général de l’IPS-CGRAE : Abdrahamane Berté
• Directeur Général du Trésor Public : Adama Koné
• Directeur Général des Douanes : Issa Coulibaly
• Directeur Général de l’ENA : Traoré Salimata
• Directeur Général de l’ENS : Valy Sidibé
• Directeur Général des Cultes : Bamba Messamba
• Directeur Général des Services Vétérinaires : Lassina Ouattara
• Directeur Général du MASA : Yacouba Konaté
• Directeur Général de l’Agéroute : Bouaké Fofana
• Directeur Général de la Sicogi : Camara Loukimane
• Directeur Général du Port Autonome d’Abidjan (PAA) : Hien Sié
• Directeur Général du Port de San-Pédro : Lamizana Hilaire
• Directeur Général de la Lonaci : Issiaka Fofana
• Directeur Général de l’ANSUT : Soro Euloge
• Directeur Général de l’AIGF : Koné Siaka
• Directeur Général du Fonds d’Entretien Routier : Fofana Siandou
• Directeur Général de la GESTOCI : Doumbia Ibrahim
• Directeur Général de la SIR : Camara Thomas
• Directeur Général de la SMB : Doumbia Mamadou
• Directeur Général de l’ANADER : Sidiki Cissé
• Directeur Général de la SOTRA : Boiké Méité
• Directeur Général de la SODEFOR : Sangaré Mamadou
• Directeur Général de Côte d’Ivoire Energie : Traoré Amidou
• Directeur Général de l’Agence de Gestion Foncière : Coulibaly Lamine
• Directeur Général de la SOGEPIE : Souleymane Camara
• Directeur Général de la Société des Palaces de Cocody : Diarrassouba Maférima
• Directeur Général de l’ANASUR : Sarrahn Ouattara
• Directeur Général de la SODETOUR-LACS : Malékah Condé Mourad
• Directeur Général de la BHCI : Souleymane Dogoni
• Directeur Général du Fonds National de Jeunesse : Lancina Bamba
• Directeur Général de la Poste : Mamadou KONATE
• Directeur Général de la CNCE : Mamah DIABAGATE
• Directeur Général de la CIDT : Dr Mamadou COULIBALY
• Directeur Général de l’électricité : Sabati CISSE
• Directeur Général du Plan et de la lutte contre la pauvreté : Lancine DIABY
• Directeur Général de Côte d’Ivoire Tourisme : Jean-Marie SOMET
• Directeur Général de la HACA : Me René BOURGOIN
• Directeur Général de l’ANAC : Silue SINALY
• Directeur Général du GIABA : Colonel Adama COULIBALY
• Directeur Général du Budget et des Finances : Seydou TRAORE
• Directeur Général de l’INJS : Habib SANOGO
• Directeur Général du SITA : Massogbe TOURE
• Directeur du Programme Présidentiel d’urgence (PPU) : Sahi TOURE
• Directeur de l’ADDR : Fidèle SARRASSORO
• Directeur de l’OISSU : Mamadou Souleymane KONE
• Directeur National de la BCEAO : Chalouo COULIBALY
• 1er Conseiller du Directeur National de la BCEAO : Yaya SISSOKO
• Directeur des Examens et Concours (DECO) : Nimaga Mariam DOSSO
• Secrétaire Général à la Bonne Gouvernance : Méité Sindou
• Secrétaire Exécutif du CONARIV : Madame KONE Mariétou
• Présidente du Programme National de la Cohésion Sociale (PNCS), Madame KONE Mariétou.
• Secrétaire Exécutif du Comité de Concertation Etat-Secteur Privé : Mariam FADIGA
• Président du Conseil d’Administration de la SMB : Traoré Aminata
• Président du Conseil d’Administration d’Air Côte d’Ivoire : Gal Abdoulaye Coulibaly
• Président du Conseil d’Administration et d’AERIA : Gal Abdoulaye Coulibaly
• Président du Conseil d’Administration de Côte d’Ivoire Energies : Cissé Ibrahima
• Président du Conseil d’Administration du PAA : Kanté Koly
• Président du Conseil d’Administration du Fer : Diakité Coty Souleymane
• Président du Conseil d’Administration de la Sodomie : Bamba Yacouba
• Secrétaire Général de la Grande Chancellerie : Yacouba Konaté (le même)
• Directeur de la Mutualité et des OEuvres Sociales et présidente des femmes RDR : Ouattara Yéné
• Présidente de l’Université de Cocody : Pr Ly Ramata
• Présidente des Structures Café/Cacao : Touré Liste Massandjé
• Président de l’Autorité de Régulation des Marchés Publics : Non Karma Coulibaly
• Président de la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance : Seydou Elimane Diarra
• Président du Conseil Constitutionnel : Mamadou Koné
• Président de la Commission Electorale Indépendante : Youssouf Bakayoko
• Président pour la Haute Autorité pour la bonne Gouvernance : Seydou DIARRA
• Président du Conseil d’Administration de la CIDT : Ibrahima FANNY
• Président de la HACA : Savane SY
• Président de l’ANSUT : Lassina KONE « Kardozi »
• Chargé de Mission du Président de la République : Lassina OUATTARA (Lass PR)

Cette liste n’est pas exhaustive. Notons, au passage, que tous les Directeurs de Cabinet ministériels qui ne sont pas du « Nord » sont secondés par un Directeur de Cabinet Adjoint du « Nord » qui les contrôle.

Source : aujourd’hui / N°929

Wed, 15 Jul 2015 15:02:00 +0200

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