Disparition de Guy-André Kieffer / Tony Oulaï révèle : ‘’Osange et les enfants ont besoin de savoir la vérité’’

Chers congénères français, chers concitoyens ivoiriens
Considérant l’honorabilité du Président de la Chambre-6 du Pôle-7 de la Cour d’Appel de Paris qui a fait confirmer ma remise en liberté – contre les réquisitions du Procureur du TGI de Paris, contre les saisines de Patrick Ramaël et contre les inepties des jeunes avocats de Bernard Kieffer – moi Tony Oulaï, je ne commenterai plus cette affaire Guy André Kieffer (aperçu en Israël en mars 2005).
Vu l’intégrité judiciaire et la probité intellectuelle du Vice-président du Tribunal de Grande Instance (TGI) de Paris – le respectable et respecté chevronné magistrat Dominique Liziard – qui a décidé de mettre fin au calvaire-carcéral abusif et interminable de l’officier ivoirien Tony Oulaï, a décidé de ne plus dénoncer les carences professionnelles et les tares personnelles de Patrick Ramaël (en charge des affaires Guy André Kieffer et Medhi Ben Barka).
Attendu la sympathie humaine que Tony Oulaï éprouve pour Osange Silou Kieffer et les enfants Kieffer (qui veulent et doivent judicieusement savoir ce qui est arrivé à son époux d’une part et à leur père d’autre part à Jérusalem), trouve humainement digne de ne plus faire aucun commentaire sur la personne de Guy André Kieffer.
De par mes convictions religieuses, j’affirme que je ferai même plus aussi de commentaires sur l’affaire Kieffer en général parce que dans la Sainte-Bible il est écrit : « Il y a un temps pour tout et un moment pour toute chose sous le soleil. Il y a un temps pour naître et un temps pour mourir, […] il y a un temps pour démolir et un temps pour construire. Il y a aussi un temps pour pleurer et un temps pour rire, un temps pour se lamenter et un temps pour danser. […] Il y a un temps pour parler et un temps pour garder le silence. Il y a un temps pour la guerre et un temps pour la paix. » [Ecclésiaste 3:1-8] Il est donc évident que depuis avril 2004, depuis 6 ans donc, d’enquêtes policières et d’Instruction judiciaire, tous les Français encore lucides en possession de leur faculté mentale et tous les Ivoiriens dotés d’un minimum d’intelligence savent maintenant toute la vérité sur l’affaire-Kieffer parce que tout a été dit dans les médias et tout a été écrit dans les 2.500 pages de l’Instruction-judiciaire (du TGI de Paris). Néanmoins, Tony Oulaï aimerait rappeler au peuple français et à ses compatriotes ivoiriens que :
En France, il y a encore des magistrats qui sont convaincus que les 13 victimes d’Outreau sont ‘‘coupables’’ de pédophilie et même de meurtre en dépit des confessions publiques de mensonges des mythomanes Myriam Badaouï et Aurélie Grenon ; alors que ces mêmes magistrats français disent que les criminels de l’Arche-de-zoé (pris en flagrant-délit d’Enlèvement, de Séquestration, d’Escroquerie massive en bande organisée, et de Tentative de vente d’organes humains de 103 enfants tchadiens) sont des ‘‘humanitaires innocents’’.
À Paris, il y a encore des magistrats tarés et des Français abrutis qui sont toujours ‘‘convaincus’’ que Jaques Viguier est l’auteur de l’assassinat de son épouse même s’il a été acquitté deux fois : en Première instance et en Appel. Pourtant, ces mêmes Français et leurs médias corrompus affirment publiquement que les deux jeunes filles drogue-dealer Sarah et Céline (prises en possession de 8 kilos de cocaïne en République dominicaine) seraient ‘‘innocentes’’ avec un comité de soutien de surcroit.
Dans l’appareillage judiciaire de l’Hexagone et au sein de l’UMP, il y a encore des Procureurs insolites (aux compétences douteuses) et des politiciens enragés qui auraient des ‘‘preuves’’ fictives que le Premier ministre Dominique De Villepin est coupable de ‘‘Complicité par abstention’’ (de… ?) dans l’affaire Clearstream contre Nicolas Sarkozy. Or ces mêmes Parisiens, dotés d’un cynisme hors-pair, sont convaincus que la criminelle-gangster Florence Cassez (condamnée à 30 ans de prison au Mexique pour kidnapping et assassinats en association de gangsters) est ‘‘innocente’’ avec aussi un comité de soutien de surcroit.
Qu’est-ce que je veux démontrer ici sur la mentalité de la justice française et sur la culture du peuple français ?
« Quand le peuple français croit en un grotesque mensonge, aucune preuve n’est nécessaire. Quand des Juges d’Instruction de France ne croient pas à une vérité évidente, aucune preuve n’est suffisante ». Par voie de conséquence, j’exige publiquement au propagandiste Christophe Boisbouvier et sa radio RFI d’arrêter de m’appeler ‘‘principal suspect’’ et de définitivement renoncer à diaboliser la Première Dame Simone Ehivet Gbagbo et le Ministre Antoine Bohoun Bouabré dans cette affaire Kieffer, sinon ce sera devant les tribunaux de la République de Côte d’Ivoire – et non de France – que Christophe Boisbouvier et RFI répondront très prochainement aux plaintes de : « Diffamation, dénonciation calomnieuse et atteinte à l’honneur ».
Christophe Boisbouvier et RFI doivent plutôt diffuser, pour équilibrer l’information comme l’exige la déontologie du journalisme, que ce sont uniquement Jean-Michel Aaron Brunetière, Stéphane De Vaucelles et Jean-Yves Garnault – mis en examen et inculpés par la justice ivoirienne – qui sont les vrais principaux suspects et même les seuls responsables de la disparition (s’il a disparu) de Guy André Kieffer à Abidjan.
Enfin le vendredi 16 avril 2010, je n’ai pas été surpris d’entendre sur les ondes de RFI, l’avocat de Bernard Kieffer prétendre que le procureur du TGI de Paris et Patrick Ramaël sont ‘‘satisfaits’’ de ma libération pour mieux mener leur enquête sans précipitation (après six ans d’enquête) et sans pression de Nicolas Sarkozy qui a reçu Bernard Kieffer à l’Élysée en août 2007 pour remettre Tony Oulaï aux arrêts en octobre 2007 ; or en outre, ce sont eux – Patrick Ramaël (avec ses rhétoriques incantatoires) et le Procureur du TGI de Paris – qui étaient farouchement opposés à ma remise en liberté devant le Vice-président Dominique Liziard et devant la Chambre-6 de la Cour d’Appel de Paris. En conclusion, je remercie du tout profond de mon cœur tous ceux qui de près ou de loin ont soutenu ma famille et tous ceux qui – dans l’ombre ou à la lumière – ont contribué à ma libération de ce périlleux périple carcéral.
Considérant l’honorabilité du Président de la Chambre-6 du Pôle-7 de la Cour d’Appel de Paris qui a fait confirmer ma remise en liberté – contre les réquisitions du Procureur du TGI de Paris, contre les saisines de Patrick Ramaël et contre les inepties des jeunes avocats de Bernard Kieffer – moi Tony Oulaï, je ne commenterai plus cette affaire Guy André Kieffer (aperçu en Israël en mars 2005).
Vu l’intégrité judiciaire et la probité intellectuelle du Vice-président du Tribunal de Grande Instance (TGI) de Paris – le respectable et respecté chevronné magistrat Dominique Liziard – qui a décidé de mettre fin au calvaire-carcéral abusif et interminable de l’officier ivoirien Tony Oulaï, a décidé de ne plus dénoncer les carences professionnelles et les tares personnelles de Patrick Ramaël (en charge des affaires Guy André Kieffer et Medhi Ben Barka).
Attendu la sympathie humaine que Tony Oulaï éprouve pour Osange Silou Kieffer et les enfants Kieffer (qui veulent et doivent judicieusement savoir ce qui est arrivé à son époux d’une part et à leur père d’autre part à Jérusalem), trouve humainement digne de ne plus faire aucun commentaire sur la personne de Guy André Kieffer.
De par mes convictions religieuses, j’affirme que je ferai même plus aussi de commentaires sur l’affaire Kieffer en général parce que dans la Sainte-Bible il est écrit : « Il y a un temps pour tout et un moment pour toute chose sous le soleil. Il y a un temps pour naître et un temps pour mourir, […] il y a un temps pour démolir et un temps pour construire. Il y a aussi un temps pour pleurer et un temps pour rire, un temps pour se lamenter et un temps pour danser. […] Il y a un temps pour parler et un temps pour garder le silence. Il y a un temps pour la guerre et un temps pour la paix. » [Ecclésiaste 3:1-8] Il est donc évident que depuis avril 2004, depuis 6 ans donc, d’enquêtes policières et d’Instruction judiciaire, tous les Français encore lucides en possession de leur faculté mentale et tous les Ivoiriens dotés d’un minimum d’intelligence savent maintenant toute la vérité sur l’affaire-Kieffer parce que tout a été dit dans les médias et tout a été écrit dans les 2.500 pages de l’Instruction-judiciaire (du TGI de Paris). Néanmoins, Tony Oulaï aimerait rappeler au peuple français et à ses compatriotes ivoiriens que :
En France, il y a encore des magistrats qui sont convaincus que les 13 victimes d’Outreau sont ‘‘coupables’’ de pédophilie et même de meurtre en dépit des confessions publiques de mensonges des mythomanes Myriam Badaouï et Aurélie Grenon ; alors que ces mêmes magistrats français disent que les criminels de l’Arche-de-zoé (pris en flagrant-délit d’Enlèvement, de Séquestration, d’Escroquerie massive en bande organisée, et de Tentative de vente d’organes humains de 103 enfants tchadiens) sont des ‘‘humanitaires innocents’’.
À Paris, il y a encore des magistrats tarés et des Français abrutis qui sont toujours ‘‘convaincus’’ que Jaques Viguier est l’auteur de l’assassinat de son épouse même s’il a été acquitté deux fois : en Première instance et en Appel. Pourtant, ces mêmes Français et leurs médias corrompus affirment publiquement que les deux jeunes filles drogue-dealer Sarah et Céline (prises en possession de 8 kilos de cocaïne en République dominicaine) seraient ‘‘innocentes’’ avec un comité de soutien de surcroit.
Dans l’appareillage judiciaire de l’Hexagone et au sein de l’UMP, il y a encore des Procureurs insolites (aux compétences douteuses) et des politiciens enragés qui auraient des ‘‘preuves’’ fictives que le Premier ministre Dominique De Villepin est coupable de ‘‘Complicité par abstention’’ (de… ?) dans l’affaire Clearstream contre Nicolas Sarkozy. Or ces mêmes Parisiens, dotés d’un cynisme hors-pair, sont convaincus que la criminelle-gangster Florence Cassez (condamnée à 30 ans de prison au Mexique pour kidnapping et assassinats en association de gangsters) est ‘‘innocente’’ avec aussi un comité de soutien de surcroit.
Qu’est-ce que je veux démontrer ici sur la mentalité de la justice française et sur la culture du peuple français ?
« Quand le peuple français croit en un grotesque mensonge, aucune preuve n’est nécessaire. Quand des Juges d’Instruction de France ne croient pas à une vérité évidente, aucune preuve n’est suffisante ». Par voie de conséquence, j’exige publiquement au propagandiste Christophe Boisbouvier et sa radio RFI d’arrêter de m’appeler ‘‘principal suspect’’ et de définitivement renoncer à diaboliser la Première Dame Simone Ehivet Gbagbo et le Ministre Antoine Bohoun Bouabré dans cette affaire Kieffer, sinon ce sera devant les tribunaux de la République de Côte d’Ivoire – et non de France – que Christophe Boisbouvier et RFI répondront très prochainement aux plaintes de : « Diffamation, dénonciation calomnieuse et atteinte à l’honneur ».
Christophe Boisbouvier et RFI doivent plutôt diffuser, pour équilibrer l’information comme l’exige la déontologie du journalisme, que ce sont uniquement Jean-Michel Aaron Brunetière, Stéphane De Vaucelles et Jean-Yves Garnault – mis en examen et inculpés par la justice ivoirienne – qui sont les vrais principaux suspects et même les seuls responsables de la disparition (s’il a disparu) de Guy André Kieffer à Abidjan.
Enfin le vendredi 16 avril 2010, je n’ai pas été surpris d’entendre sur les ondes de RFI, l’avocat de Bernard Kieffer prétendre que le procureur du TGI de Paris et Patrick Ramaël sont ‘‘satisfaits’’ de ma libération pour mieux mener leur enquête sans précipitation (après six ans d’enquête) et sans pression de Nicolas Sarkozy qui a reçu Bernard Kieffer à l’Élysée en août 2007 pour remettre Tony Oulaï aux arrêts en octobre 2007 ; or en outre, ce sont eux – Patrick Ramaël (avec ses rhétoriques incantatoires) et le Procureur du TGI de Paris – qui étaient farouchement opposés à ma remise en liberté devant le Vice-président Dominique Liziard et devant la Chambre-6 de la Cour d’Appel de Paris. En conclusion, je remercie du tout profond de mon cœur tous ceux qui de près ou de loin ont soutenu ma famille et tous ceux qui – dans l’ombre ou à la lumière – ont contribué à ma libération de ce périlleux périple carcéral.
Que le Seigneur vous bénisse !
Que Dieu protège la Côte d’Ivoire !
Jean Tony Oulaï
Mon, 19 Apr 2010 01:56:00 +0200
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