Sabotage à la BIAO / Par la faute de certains agents : Jean Kacou et Martin Djédjess payeront des dommages et intérêts

Photo : DR
On intoxique UBA et on dénigre les autres banques à la BIAO. La mafia qui sévit à la BIAO a voulu servir au-delà de la rue des banques. Elle a tenté de faire endosser par la banque UBA ses suspicions illégitimes envers M. Aurlus Golly. Qui avait reçu un virement de la même nature à UBA, sans rencontrer de difficulté pour se faire payer. M. Aurlus a cru utile d’attirer l’attention de nos pseudos Jérôme Kerviel sur les tracasseries qui lui étaient faites, en révélant que tout s’est pourtant bien passé à UBA. Cela a suffi pour que nos inspecteurs ‘’colombo’’de la BIAO alertent tout le réseau bancaire. Ils ont menacé de faire rapatrier les fonds, ou de saisir la Centif-CI dirigée par M. Irigalé Bli-Toussaint. Il ne leur restait plus qu’à saisir la CIA et le FBI américains. Sans aucun souci pour l’image de leur banque et de la Côte d’Ivoire vis-à-vis des banquiers étrangers qui ont fait correctement leur travail dans le cadre de ce virement. MM Attey, Degny et Ahiman ont multiplié des soupçons infondés et illégitimes à l’endroit du client qui s’est refusé à tout marchandage. Sans doute, habitués à faire subir de telles tracasseries et à en récolter des prébendes, les cadres de la BIAO ont été surpris par l’attitude de M. Golly. Entre temps, ils ont réussi à semer le doute et le soupçon à la Banque UBA au sujet d’un honnête opérateur économique. En tout état de cause, la BIAO-CI, ses responsables et les auteurs du préjudice répondront devant la justice et l’opinion nationale et internationale de ce comportement anti-économique et inhumain. Quand on prétend être une vraie et bonne banque, on respecte une banque comme UBA, qui a fait ses preuves au-delà de la Côte d’Ivoire. On ne la dénigre pas devant un client qu’on est en train de martyriser, et qui, dans aucune autre banque en Côte d’Ivoire ni au monde, n’a connu, ni subi un comportement aussi désinvolte et anti-professionnel

Ismaël Dembelé

Encadré(1)

L’image de la BIAO ternie
Ceux qui doutaient des propos disant que des cadres sabotent le travail de Diagou doivent être désormais édifiés. Car par leur faute, M. Golly réclame par voie judiciaire, des dommages et intérêts de plusieurs millions. Il ne s’agit plus de se faire payer ses quarante trois millions de FCFA, mais il s’agit désormais pour la Biao de payer pour les dommages subis. En plus, la banque voit son image bousillée et ses efforts de communication anéantis. Elle pourra faire des droits de réponse, s’expliquer mais elle ne peut convaincre personne de ce que ses agents ont travaillé dans les règles de l’art. M.Golly qui a pu convaincre ses créanciers et partenaires d’être patients, est désormais prêt à démanteler la mafia qui sévit au sein de la Biao où des agents, pour obtenir des pots-de-vin, ont délibérément refusé de payer son dû, en émettant des soupçons infondés. Les exigences de contrôle et de traçabilité des fonds instaurées par la Bceao, le Tracfin, le Giaba et même les Usa dans la lutte contre le terrorisme, n’ont jamais conseillé ce type de zèle. La banque de Diagou, de Djedjess et des autres associés dont personne n’a jamais contrôlé les origines des fonds, payera par la faute d’un groupe d’agents venus tous de chez les concurrents et qui sont toujours prêts à partir y travailler. Donc ils n’ont pas une conscience de propriétaire. Dommage !

ID

Encadré (2)

Bravo à la banque Uba
M. Attey, cadre du département audit, à la BIAO affirme que le nom qu’il porte ne lui permet pas de faire certaines choses. Pourtant, dans l’affaire en cours, il n’a pas agi en digne fils de son père. A UBA, banque soumise aux mêmes règles que la BIAO et aux autres établissements financiers exerçant dans l’espace UEMOA et banque soumise également aux normes internationales de la lutte contre l’argent douteux et le blanchiment d’argent, le transfert de M. Golly a été payé sur la base des mêmes documents fournis à la BIAO. Dès le mardi 27 juillet, UBA a effectué des paiements. Par des coups de fil venant de la BIAO et même facilités par M. Golly au nom de sa bonne foi, des cadres de M.Diagou ont tenté de semer des doutes. UBA a alors procédé à de nouvelles vérifications nécessaires. La banque a fini par tout payer tout l’argent de M. Golly, les jours suivants après les nouveaux contrôles. Vendredi, sous prétexte qu’un article est paru dans la presse, et à cause d’une lettre de protestation au ton courtois adressé au DG par voie d’huissier, la BIAO a encore refusé de payer. C’est pourquoi, il faut dire bravo et félicitations à UBA, une banque dont on dit souvent peu de bien, alors qu’elle est au-dessus de tout soupçon et qu’elle est managée selon les standards internationaux…

ID

Avec le partenariat de l’Intelligent d’Abidjan

Mon, 02 Aug 2010 02:17:00 +0200

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