
Aussi ne s’est-il pas dérobé de la mission qu’il s’est assignée depuis son accession à la tête du ministère de la Culture et de la Francophonie. Celle d’éradiquer la piraterie en s’appuyant sur une brigade culturelle forte. D’ailleurs, à l’en croire, cette dernière vient ‘’fraîchement’’ d’être dotée de moyens. « Depuis dix ans, c’est la première fois que la brigade a un siège et un bureau. Nous venons de la doter de moyens et allons continuer sur cette voie », a-t-il dit.
Ensuite, le ministre Bandaman a promis que lui et son équipe ne mettront pas dix ans pour venir à bout de ce fléau. « Nous n’en mettrons pas plus d’un an pour enrayer ces malfrats », a précisé le ministre Maurice Bandaman, avant de rappeler que « déjà, avec les efforts consentis, la piraterie en train de régresser ».
Pierrette Adams a également reconnu qu’il est difficile pour un artiste de vivre de son art en Afrique à cause de la piraterie. « C’est le métier que nous avons choisi. Nous devons donc l’assumer en sortant des albums. Qui nous rapportent que lorsqu’on nous appelle pour des prestations », a-t-elle regretté.
DIARRA Tiémoko in Soir info
Mon, 23 Jul 2012 01:28:00 +0200