Procès en appel hier: La liberté provisoire refusée à Laurent Akoun Le procès reporté au 30 janvier
Cinq (5) minutes après l’ouverture de l’audience, le juge a évoqué des raisons administratives liées au fonctionnement de la Cour d’appel pour conclure au report. L’absence d’un rapport devant permettre le procès en appel du prévenu en étant la cause principale. Me Dako Thomas, avocat de Laurent Akoun saisit alors cette occasion pour introduire une demande verbale de mise en liberté provisoire de son client, indiquant que ce dernier présente « toutes les garanties de représentation ». Malgré la détermination de Me Dako, sa requête n’aura cependant pas d’échos favorables.
Et le juge décidera de la date du 30 janvier 2013 pour statuer à la fois sur la présentation de ce rapport et la requête de mise en liberté provisoire. Faut-il le rappeler, c’est le dimanche 26 juillet 2012, que le Secrétaire général par intérim et porte-parole du FPI a été interpellé au corridor à l’entrée nord d’Adzopé. Poursuivi pour « trouble à l’ordre public », M. Akoun a été condamnée à l’issue d’un procès en 1ère instance à six (6) mois de prison ferme, un (1) an de privation de droits civiques et un (1) an d’interdiction de séjour sur l’ensemble du territoire national en dehors de sa ville natale.
H. ZIAO in L’Inter
Thu, 17 Jan 2013 01:12:00 +0100
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