Un rapport de la FAO révèle: Le nombre des affamés en hausse en Côte d’Ivoire
La Côte d’Ivoire, avec une hausse de 143,4%, fait partie des Etats où la hausse du nombre de personnes sous-alimentées a dépassé les 100 % sur 20 ans. Ce pays se trouve dans le lot de l’Ouganda (145,7%), de la Tanzanie (131,1%), de la Zambie (131,1%) et du Burundi (124,4%). Ces révélations émanent du dernier rapport de l’Organisation de l’ONU pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) sur l’état de l’insécurité alimentaire dans le monde (SOFI 2012), présenté hier à Rome, au siège de l’agence.
Le cas de la Côte d’Ivoire est très préoccupant. Car, c’est chaque jour que le régime Ouattara produit des Ivoiriens qui sortent carrément du circuit monétaire à travers des déflations sauvages, des agressions, des expropriations etc. Ces individus ne disposant plus de moyens financiers pour face à leur quotidien viennent grossir le lot déjà important des affamés. A côté d’eux, il y a ceux qui ne peuvent manger à leur faim du fait d’une inflation que le gouvernement ne peut maîtriser en dehors des discours propagandistes. En effet, après toute la communication menée pour faire croire à une baisse générale des prix des denrées de première nécessité, le constat est que les prix ne font qu’augmenter.
En deux ans, le régime Ouattara a produit un nombre considérable de « déchets humains ». Le nombre de personnes souffrant de « faim chronique » va encore augmenter.
A contrario, les meilleurs résultats ont en revanche été enregistrés par le Ghana qui a réduit le nombre de personnes affamées de 87 %, suivi du Mali (-44,3 %) et du Cameroun (-35,2 %).
Le cas de la Côte d’Ivoire est très préoccupant. Car, c’est chaque jour que le régime Ouattara produit des Ivoiriens qui sortent carrément du circuit monétaire à travers des déflations sauvages, des agressions, des expropriations etc. Ces individus ne disposant plus de moyens financiers pour face à leur quotidien viennent grossir le lot déjà important des affamés. A côté d’eux, il y a ceux qui ne peuvent manger à leur faim du fait d’une inflation que le gouvernement ne peut maîtriser en dehors des discours propagandistes. En effet, après toute la communication menée pour faire croire à une baisse générale des prix des denrées de première nécessité, le constat est que les prix ne font qu’augmenter.
En deux ans, le régime Ouattara a produit un nombre considérable de « déchets humains ». Le nombre de personnes souffrant de « faim chronique » va encore augmenter.
A contrario, les meilleurs résultats ont en revanche été enregistrés par le Ghana qui a réduit le nombre de personnes affamées de 87 %, suivi du Mali (-44,3 %) et du Cameroun (-35,2 %).
J-S Lia in NOTRE VOIE
liasylve@yahoo.fr
Thu, 11 Oct 2012 10:36:00 +0200
0